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30 octobre 2009 5 30 /10 /octobre /2009 18:21
Posted on 21-08-2009 by Romain
Les comportementalistes sous le feu de la critique

Les comportementalistes ont mauvaise presse.

A plusieurs reprises, j’ai pu lire des références moqueuses dans lesquelles on les traitait de « psy pour chien» .

Cela prête au ridicule, visuellement, on imagine la scène d’un maître assis ou sur un divan avec son chien à proximité (ou le contraire!).

On ne peut s’empêcher de sourire et de crier au scandale : « Il n’y a qu’aux États-Unis que ça peut exister!» 


Aucun diplôme qui ne vienne valider la formation (en France cela a quelque chose de peu rassurant, car on aime bien les diplômes), ni aucun référencement sérieux de la part d’un organisme reconnu.

Si on a un chien ou un chat qui présente des troubles du comportement tels que la destruction, l’agressivité ou si l’on souhaite simplement trouver une solution à des petits tracas du quotidien, pas facile de trouver un professionnel qui puisse nous apporter son aide en toute confiance.

A cela s’ajoute l’existence de différentes chapelles qui chacune prône des méthodes différentes…

La relation chien homme évolue

Il va falloir s’y faire. La place que l’animal tient dans la maison a radicalement évolué.                                                                                                                            

Une récompense bien méritée!


laissé place à l’animal de compagnie qui occupe une place bien plus importante au niveau affectif chez ses maîtres.

Paradoxalement, la place que nos protégés occupent dans notre coeur nous poussent à mener leur éducation en écoutant nos sentiments et nos envies pour finalement obtenir l’exact contraire de ce qui était souhaité.

De vrais professionnels du chien

Malgré les aléas de la réputation des comportementalistes, il existe de véritables professionnels comme Nicolas Cornier, que nous avons rencontré. C’est aux États-Unis justement que son aventure canine débute, à San Francisco.

Complètement inexpérimenté avec les chiens, il se retrouve rapidement à devoir gérer une garderie canine.

Il est tombé dans le monde du chien, plus précisément, c’est le monde du chien qui lui a grimpé dessus !

C’est alors qu’il fait une rencontre qui structurera son avenir.


Ian Dunbar, une référence en éducation canine de l’autre côté de l’Atlantique et quelques soirées bières le décideront à franchir le pas et à devenir comportementaliste.


Pour les english speaker, Ian Dunbar à TED :


Depuis lors, Nicolas exerce en France, dans son ouvrage Dans le Sens du poil il prodigue des conseils qui ne sont pas toujours intuitifs pour les propriétaires de chien.


Un jeune chiot récemment acquis doit être inhibé.

La présence et l’attention de son maître ne doivent pas être acquises et inconditionnelles.

Il faut savoir l’ignorer de temps à autre, et lui apprendre à rester seul.

Cette apprentissage doit se faire progressivement, il permettra au jeune chien de savoir gérer sa frustration.


Nous apprenons également qu’un jardin peut être un cadeau empoisonné pour un chien.

Un petit tour dans le jardin est très loin de remplacer une vraie promenade.

Le chien est un animal social qui a besoin de faire des rencontres, d’exercer ses sens, de découvrir de nouveaux territoires.

Plus il est exposé à des situations différentes, plus elles se banalisent et plus l’animal les gèrent facilement.

De nombreux propriétaires ont peur de lâcher leur chien et de mettre la laisse de côté.

Pourtant cela change tout pour le chien.


Le plus efficace est de commencer avec une longe, sans tirer dessus et apprendre au chien à comprendre et réagir à des signes visuels et auditifs.


Une fois que vous êtes à l’aise, il sera possible de se passer de laisse!

L’ouvrage met l’accent sur la communication entre l’homme et le chien, l’obéissance n’étant rien d’autre qu’une bonne compréhension de l’autre rendus possible par un vécu commun.

http://www.myeasypet.com/blog/2009/08/psy-pour-chien/
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30 octobre 2009 5 30 /10 /octobre /2009 18:15
Posted on 26-10-2009 by Leonard

Voici comment une puce fonctionne : durant une visite chez le vétérinaire, une puce peut être implantée dans le dos de votre animal (pour un prix équivalent au tatouage c’est à dire autour de 70€).

C’est aussi rapide qu’une vaccination.

A chaque puce correspond un numéro qui commence par le numéro du pays, l’espèce animale puis un code qui correspond au propriétaire.

Au code du propriétaire sont associés ses coordonnées.


Numéro de téléphone et adresses sont stockées dans un fichier national géré par le SNVEL, le syndicat national des vétérinaire d’exercice libéral.


Ce Schnauzer est en train de se fire lire la puce

On lit la puce de ce Schnauzer


Les refuges, vétérinaires et les fourrières sont en général équipés d’un lecteur à même de lire cette puce.


Une étude récente montre que la probabilité de retrouver son chat est 20 fois plus haute pour les chats et 2,5 fois plus élevée pour les chiens.


Simple à mettre en place, elle permet :

  • D’augmenter les chances de retrouver son animal
  • De réduire les chances de vol car on peut prouver l’appartenance de l’animal
  • La puce étant mondiale, votre animal peut être identifié même à l’étranger
Plus esthétique que le tatouage, l’implantation d’une puce permet de pouvoir changer ses coordonnées en cas de déménagement ou de changement de numéro de téléphone ce qui facilite la localisation du maître.

En cas de vol de votre animal, elle est également plus difficile à falsifier qu’un traditionnel tatouage.

http://www.myeasypet.com/blog/2009/10/la-puce-lectronique/?utm_source=Newsletter10&utm_medium=article3&utm_campaign=NEWS301009
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30 octobre 2009 5 30 /10 /octobre /2009 16:35

Il y a quelques jours, une dame m'a demandé si je pouvais accueillir le lapin de compagnie d'une de ses voisines qui "ne pouvait pas le garder" (pour cause de déménagement... hum hum...)

Bon, comme j'ai de la place et que je ne souhaitais pas voir un nouveau loulou à la SPA, j'ai accepté, mais sans me montrer particulièrement courtoise avec l'abandonneuse.

Donc, le lapin est arrivé chez moi hier, à 16h30, et j'ai immédiatement remarqué une très forte irritation de sa peau entre les omoplates. En réponse à ma question "A-t-il un problème de peau?", la personne m'a juste dit qu'elle découvrait cette plaque en même temps que moi (hum... hum...)

De toute façon, elle ne s'est pas éternisée vu mon accueil (lol), et Faby et moi avons enfin pu analyser plus précisément le loulou (nous l'appellerons Diego).
Résultat: nous avons été outrées de nous apercevoir que Diego est infesté de puces! L'irritation de sa peau doit être due à ses séances de gratouilles, car les puces sont si nombreuses que nous en voyons passer à chaque fois que nous écartons ses poils! Faby m'a dit que Diego devait être anémié tellement son sang doit être vidé par les innombrables morsures (je n'exagère pas!)

Du coup, nous nous sommes immédiatement rendues chez un véto pour rapporter un anti-puces puissant (tant-pis pour notre séance de piscine...), et nous lui avons appliqué dans la minute.

Hier soir, j'ai pu constater que les puces étaient déjà moins vives et rapides, et ce matin... ouf... la plupart étaient mortes (même s'il en reste encore, mais bon, je renouvellerai les soins).

Donc, j'ai décidé de le débarrasser des cadavres en lui donnant un bon bain. Je n'ai jamais vu un lapin aussi calme! Trop calme! Il se laisse manipuler dans tous les sens, il ne bouge pas, il reste dans la position dans laquelle je le place! Je pense qu'il doit être vidé de toutes ses forces...

Quoi qu'il en soit, j'ai donc pu le laver correctement mais les puces étaient vraiment, vraiment nombreuses! Je crois en avoir enlevé plusieurs centaines et en avoir claqué encore des dizaines!

Et malheureusement, j'en ai encore vu quelques unes se promener...

Maintenant, Diego se repose: il n'en peut plus. Après le bain, il a perdu l'équilibre 2 fois mais s'est remis lui même debout. Mmm...

Je ne l'ai pas filmé car comme je vous disais: il est apathique et ne bouge pas! Mais j'ai réalisé quelques photos pour vous présenter Diego. Je le trouve absolument magnifique!

Faby et moi avons décidé de la faire parrainer par 70's Action, même si ce n'était pas au programme. Au lieu d'un simple dépannage, c'est un véritable sauvetage que nous avons réalisé! Diego n'en aurait plus eu pour longtemps si on lui avait laissé ses parasites...

PS: sur les photos, vous verrez aussi un arc de cercle blanc dans l'iris de ses yeux... Est-ce que quelqu'un a déjà vu cela? Qu'est-ce que cela peut être?



Diego prend son bain...
Diego prend son bain...
Diego prend son bain...
Diego prend son bain...
Diego prend son bain...
Diego a fini son bain...
Diego a fini son bain...
Diego a fini son bain...
Diego a fini son bain...
Diego a fini son bain...
Diego est sec...
Diego est sec...
Diego est sec...
Diego est sec...
Horreur! Malgré toutes les puces retirées au cours du bain, Diego en a encore! Celles-ci sont celles tombées pendant le séchage...
Horreur! Malgré toutes les puces retirées au cours du bain, Diego en a encore! Celles-ci sont celles tombées pendant le séchage...

http://www.facebook.com/note.php?note_id=207729350080&id=1210002047&ref=mf

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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 18:19
Son nouveau combat la conduit de Noiraigue (NE) à Kiev (Ukraine), pour sauver des animaux errants exterminés avant l'Euro 2012.

Image © Alain Germond


Débarrasser les rues de Kiev des chats et des chiens, c'est la volonté des autorités ukrainiennes avant l'Euro 2012, organisé conjointement avec la Pologne. Mais il y a la manière: «Ces animaux errants sont empoisonnés, brûlés, écrasés: c'est un véritable massacre», s'indigne Tomi Tomek, présidente de l'association SOS Chats.

Ce qui a écoeuré Tomi Tomek, c'est une vidéo montrant un chien vivant jeté dans la benne d'un camion-poubelle.

Des précédents existent: à Bucarest (Roumanie), la mairie avait débarrassé la ville de ses chiens errants en utilisant des méthodes barbares: les frapper à coups de pelle ou les étrangler avec du fil de fer...

La révolte de Tomi Tomek porte ses fruits: une campagne de stérilisation et de castration est menée par une équipe de vétérinaires britanniques.

Mais l'amie des minets poursuit son combat pour faire financer ces interventions par les deniers publics.


Soutenue par Wawrinka et Schumacher


Tomi Tomek estime à 50 000 le nombre d'animaux tués à Kiev, Donetsk, Kharkiv et Lviv.

Comment s'y prend-elle pour s'y opposer depuis son refuge coupé du monde, à Noiraigue (NE)?

«En alertant des personnalités comme Michael Schumacher ou Stanislas Wawrinka», explique-t-elle.

Ces deux sportifs ont prêté leur nom à sa cause, tout comme Brigitte Bardot et l'ex-Miss Suisse Lauriane Gilliéron.


Mais, si Tomi Tomek parvient à populariser un combat, c'est surtout grâce à sa ténacité.

Elle qui avait obtenu la fermeture d'un abattoir de Kiev qui dépeçait des chats et des chiens vivants pour envoyer les peaux à un fabricant de chaussures.


Hier encore, elle téléphonait d'une main et de l'autre elle cuisait du riz pour un renard blessé, comme si soigner et nourrir 230 chats n'était pas une occupation à plein-temps.


Fâchée par Platini


Michel Platini ne lui répond pas personnellement?

Qu'importe.

Tomi Tomek alerte tout le staff du président de l'UEFA: «Quand Michel Platini n'a pas voulu bouger, prétextant que mon combat est politique, je me suis fâchée.»

Elle lui a adressé une pétition munie de 5200 signatures en le priant de «mettre un terme à cet «holocauste» d'animaux».


Sa persévérance a payé: après avoir été contactée par SOS Chats, l'UEFA a adressé une lettre au vice-premier ministre ukrainien, Ivan Vasiunyk, en lui demandant de «considérer la situation et de mettre en place des mesures adéquates», indique son service de presse.


A Kiev, la présidente de SOS Animals Society fait savoir à qui veut l'entendre que, sans la pression orchestrée par Tomi Tomek, elle n'aurait rien obtenu: «Nous avons alerté le gouvernement pendant des années», concède Tamara Tarnawska. Tomi Tomek en est persuadée: «Les autorités craignent de nous voir débarquer pour manifester.»

http://www.lematin.ch/actu/suisse/chats-tues-foot-184228

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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 18:09

La Commission européenne a adopté aujourd’hui un rapport dans lequel elle présente une série de solutions possibles pour l’étiquetage relatif au bien‑être animal afin de favoriser un débat politique approfondi avec les autres institutions.
L’objectif global de la politique dans ce domaine est de permettre aux consommateurs d’identifier et de choisir plus facilement les produits fabriqués dans le respect du bien‑être animal et d’inciter ainsi, sur le plan économique, les producteurs à améliorer le bien-être des animaux.
Le rapport présente aussi des solutions possibles pour l’établissement d’un réseau européen de centres de référence pour la protection et le bien‑être des animaux.
Ce réseau, établi sur le modèle des laboratoires communautaires de référence pour la santé animale, pourrait apporter un soutien technique pour l’élaboration et la mise en œuvre des politiques de bien-être animal, notamment en matière de certification et d’étiquetage.
Le document, qui s’appuie sur une étude externe et une vaste consultation des parties intéressées, est la réponse de la Commission aux conclusions du Conseil «Agriculture» de mai 2007 qui préconisaient l'élaboration d'un rapport afin de permettre un débat approfondi sur l’étiquetage relatif au bien‑être animal.
Le rapport inventorie les options qui sont considérées comme les plus réalistes aujourd’hui, mais n'en valide aucune.
L’harmonisation des exigences applicables aux allégations facultatives relatives au bien-être animal, par exemple, est une des solutions envisagées pour encourager la communication d’informations transparentes aux consommateurs.
La création d’un label communautaire facultatif de bien-être animal, ouvert à tous ceux qui se conforment aux critères, en est une autre.

Mme Androulla Vassiliou, membre de la Commission chargé de la santé, a déclaré à ce propos: «Si elles font l’objet d’une communication efficace, des normes plus strictes en matière de bien-être animal offrent la perspective d’une situation gagnant-gagnant qui profiterait tant aux consommateurs qu’aux producteurs.
Les consommateurs recherchant des produits respectueux du bien-être animal pourraient les identifier plus facilement et les producteurs appliquant des normes plus strictes pourraient commercialiser leurs produits plus efficacement.
Cet important rapport fournit une base de réflexion précieuse sur les possibilités envisageables en matière d’étiquetage relatif au bien-être animal. Il évalue des solutions concrètes pour fournir des informations de meilleure qualité et plus claires sur le bien-être animal et recherche des moyens appropriés de renforcer la coopération scientifique dans le domaine du bien-être animal en Europe.»

Les lacunes actuelles

Une étude de faisabilité réalisée aux fins du rapport indiquait que le manque d’informations relatives au bien‑être animal sur les produits alimentaires est un problème important pour le consommateur.
Bien qu’il existe des systèmes facultatifs d’étiquetage relatif au bien‑être, il n’y a pas de système harmonisé de normes en matière de bien-être animal à des fins d’étiquetage, et les consommateurs ne comprennent pas et ne différencient pas les normes en matière de bien‑être sur lesquelles s'appuient ces systèmes.

Il en résulte que très peu de produits fournissent des informations aux consommateurs en ce qui concerne les normes de bien-être et que les producteurs ne sont pas suffisamment motivés pour améliorer le bien-être animal et commercialiser leurs produits en conséquence.

Solutions possibles pour l’étiquetage

À la suite de l’étude de faisabilité et d’une vaste consultation des parties intéressées, la Commission a examiné des options stratégiques pour remédier à ces lacunes.
Elle a abouti à une série de solutions qui seront examinées lors de la discussion à venir.

Il s’agit notamment de l’établissement d’exigences pour l'utilisation facultative d’allégations de bien-être animal, de la création d’un label communautaire facultatif de bien-être animal ouvert à tous ceux qui se conforment aux critères et de l’élaboration de lignes directrices pour les systèmes d’étiquetage et de qualité en matière de bien‑être animal.

Les autres options stratégiques envisagées consistent à mentionner sur l’étiquette les normes de bien‑être appliquées pour les animaux d’élevage destinés à la production alimentaire, le système d’élevage utilisé pour la production alimentaire et la conformité aux normes communautaires minimales ou leurs équivalents.

Réseau européen de centres de référence

De nombreuses parties intéressées ont insisté sur la nécessité d’améliorer la coordination et l’utilisation des compétences scientifiques existantes pour garantir une meilleure élaboration des politiques dans le domaine du bien‑être animal.
Ces considérations ont conduit la Commission à évaluer la faisabilité de différentes solutions possibles pour l’établissement d’un réseau européen de centres de référence pour la protection et le bien‑être des animaux.
Ce réseau pourrait fournir un soutien technique pour l’élaboration et la mise en œuvre des politiques de bien‑être animal, notamment en matière de certification et d’étiquetage.

L’option à privilégier consiste à charger un centre d’excellence sur le bien‑être animal, qui existe déjà, de coopérer avec un réseau d’établissements de recherche compétents dans les États membres, tous reconnus par la Communauté.
C’est une méthode qui a fait ses preuves dans le domaine de la santé animale, où les laboratoires communautaires de référence coordonnent des réseaux de laboratoires de référence nationaux et reçoivent une subvention annuelle pour mener à bien des tâches spécifiques pour l’UE.
Le débat tirera parti de l’expérience acquise ces cinq dernières années par la mise en œuvre du projet de recherche «Welfare Quality».

Contexte

En mai 2007, le Conseil des ministres a adopté des conclusions sur l’étiquetage relatif au bien-être animal, dans lesquelles il invitait la Commission à soumettre un rapport afin de permettre un débat approfondi sur cette question.
En décembre 2007, la Commission a lancé une étude de faisabilité accompagnée d’une consultation des parties intéressées concernant l’étiquetage relatif au bien‑être animal afin d’élaborer le rapport qui a été adopté aujourd’hui.
Cette étude a pris fin en janvier 2009. Les conclusions du rapport serviront de base à la discussion approfondie de cette question entre la Commission, le Conseil, le Parlement européen, le Comité économique et social européen et le Comité des Régions.

Pour de plus amples informations:
http://ec.europa.eu/food/animal/welfare/index_fr.htm
http://ec.europa.eu/food/animal/welfare/farm/labelling_en.htm
Commission européenne
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29 octobre 2009 4 29 /10 /octobre /2009 17:27

150 cochons d'Inde ont été trouvés dans le logement d'une personne
décédée. Il nous faut trouver des familles d'accueil provisoire ou bien
des familles définitives pour ces petits.

Contacter Mme Cathy Laroche -
GSM (+352) 691 571 512 pour plus de détails.

 Merci de bien vouloir nous aider.

L'association "Déieren an Nout" (Animaux en détresse) fait castrer les mâles. Mais les femelles sont sûrement prises...

e-mail: deieren-an-nout@pt.lu

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28 octobre 2009 3 28 /10 /octobre /2009 20:02

Eh oui, la vérité est gênante quand on veut cacher que l'on torture des animaux !  Ca vous dit une chasse aux sorcières ?

COPENHAGUE — Une émission de la télévision danoise diffusée mardi soir a dressé un réquisitoire accablant contre certaines fermes d'élevage de visons au Danemark, montrant des animaux vivant dans des conditions déplorables.

L'association danoise des éleveurs de visons, qui regroupe quelque 1.500 adhérents, a tenté en vain de s'opposer à la diffusion de ce programme, "Operation X", par la chaîne nationale TV2, au motif que les prises de vue avaient été faites par effraction.

Elle a été déboutée dimanche par le tribunal d'Odense (centre), qui a rejeté sa demande d'interdiction, estimant que ce reportage était pertinent et utile à être montré à l'opinion publique.

Les auteurs d'"Operation X" ont mené leur enquête avec le concours de l'association de défense des animaux Anima, montrant des visons avec des blessures ouvertes sur le corps, partiellement paralysés ou morts dans leurs cages sales.

Des membres d'Anima ont filmé clandestinement 34 fermes d'élevage de visons et y ont constaté des conditions de vie "insupportables" d'un grand nombre de bêtes, a déclaré à TV2 Thorbjoern Schoenning, porte-parole de l'association.

"Nous sommes entrés dans ces fermes en sautant par-dessus la barrière car c'était la seule manière de montrer ces atrocités que les éleveurs ne nous auraient jamais montrées", a-t-il souligné, exhortant cependant les Danois à ne pas commettre des actes de sabotage contre les fermes d'élevage.

Un journaliste de TV2 a participé lui-même à deux de ces opérations menées à l'aube par Anima afin de confronter les éleveurs avec la réalité déplorable de leurs fermes.

Les éleveurs de visons danois, les premiers au monde avec une production annuelle de quelque 14 millions de bêtes, se sont déclarés "indignés", dans un communiqué, par les méthodes de travail "indécentes d'une chaîne du service public", accusant ses journalistes d'être des "marionnettes" du mouvement de défense des animaux, dont des membres ont déjà été "condamnés pour violences et vandalisme contre les fermes d'élevage".

Source : http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hQYcR588pHEVccz3Q7s6f86v70-g

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28 octobre 2009 3 28 /10 /octobre /2009 18:44


Le nouveau catalogue "Pays de l'ours 2010" est arrivé
.

Au sommaire, les classiques (peluches, moulages ...), les incontournables (livres-enfants, les références, dont une nouvelle édition de "La Vie de la Montagne, moins chère !) et des nouveautés, dont notre nouvelle gamme de vêtements "Design by Pays de l'Ours " !






Pourquoi choisir la boutique "Pays de l'Ours" pour vos achats et cadeaux ?

C'est pour vous et vos proches :
  • une garantie de qualité : tous les articles présentés ont été sélectionnés par notre équipe pour leur qualité pédagogique, documentaire, esthétique.
  • des achats "éthiques" : nous privilégions les productions locales et/ou sous charte de qualité sociale et environnementale.
  • la satisfaction de contribuer à financer les actions de protection de l'ours dans les Pyrénées : l'intégralité des bénéfices réalisés sont utilisés par l'association pour financer ses actions de conservation de l'ours et de développement durable des Pyrénées.
http://www.paysdelours.com/fr/le-nouveau-catalogue-pays-de-lours-est-arrive-.html?cmp_id=50&news_id=664&vID=249#664
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28 octobre 2009 3 28 /10 /octobre /2009 18:22

L’apithérapie veut dire soigner avec les abeilles, c’est une pratique millénaire.
Il s’agit de connaître et d’utiliser les propriétés des produits des abeilles en vue de perfectionner et de maintenir la santé des êtres humains.

 

Elle est une méthode de soins naturelle complémentaire basée sur les produits de la ruche.
Elle s’utilise pour prévenir et favoriser la guérison.
La thérapie individuelle utilise essentiellement les six produits apicoles suivants : le miel, la propolis, la gelée royale, le pollen de fleurs, le venin d’abeille et la cire d’abeille.

 


Dans cet article, nous allons parler du miel, d’autres articles suivront pour les autres produits apicoles.

 

Le miel est issu du nectar de la base des pétales des fleurs ; les abeilles le récolte pour le transformer en miel.
Si le miel est constitué principalement de sucre et d’eau, les abeilles réduisent la teneur d’eau de 17% et ajoutent des enzymes et un de ces enzyme produit du peroxyde d’hydrogène bien connu pour ses propriétés.[1]

Des recherches récentes menées à l’université de Waikato au sujet du peroxyde en Nouvelle-Zélande ont mis en évidence les propriétés antibiotiques du miel.[2]

 


Le miel peut dans certaines conditions être efficace sur des bactéries multi résistantes et semble avoir des propriétés anti-inflammatoires et cicatrisantes.
Cette connaissance était déjà connu par les peuples anciens tel que l’Égypte ancienne où le miel était l’ingrédient le plus utilisé dans les remèdes, tant en usage externe qu’en usage interne.

La proportion de miel allait de 20 à 84% dans les remèdes.
Il était utilisé comme onguent pour les blessures et les brûlures par ses propriétés antiseptiques, les femmes pratiquaient la contraception à l’aide de préparations à base de miel par ses propriétés spermicides, le miel traitait les problèmes ophtalmologiques par ses propriétés anti-inflammatoires, etc., pour nommer que celles-ci.[3]

 


Voici une liste d’indication où le miel peut favoriser une affection en mode complémentaire (les indications mentionnées ne signifient pas évidemment que le miel est capable, à lui tout seule, de résoudre l’affection ou le trouble envisagé).

 


Propriétés / Effets / Indications [4]

 


La règle de base est de toujours garder son miel au réfrigérateur dans un pot bien fermé pour préserver le plus longtemps possible toutes les qualités du miel.
Et surtout ne pas faire chauffer le miel car il va perdre ses enzymes (en Amérique du nord, le miel vendu est pasteurisé.., heureusement le miel bio commence à faire son apparition).

 


Plusieurs façon existe pour prendre le miel, la plus connu est comme aliment, on met le miel sous notre langue le plus longtemps possible pour le faire dissoudre.
La littérature est assez abondante à ce sujet, comme des recettes maisons, comme celle-ci :

«Aigreurs et brûlures d’estomac : après les repas, boire un bol d’eau assez chaude, sucrée au miel, avec la moitié d’un jus de citron.

 

Angine banale : badigeonnez le fond de la gorge avec du jus de citron et du miel. »[5]

 

Vous pouvez consulter aussi le site du Dr Donadieu, où de bonnes explications sont fournies pour prendre miel et dans quelle quantité.[6]

 

Le miel ne présente aucun effet secondaire et peut être pris en complément avec des médicaments sans aucun risque.[7]

 

Le miel n’est pas recommandé principalement pour les enfants de 1 an et moins, pour les personnes faisant des allergies au pollen, les diabétiques et les personnes qui font des intolérances digestives au miel.

 

Je finirais par cette phrase :

 

« La vie est une fleur.L’amour en est le miel. »

(Victor Hugo)


[1] Cours apithérapie htt ;/www.apitherapy.com– Chapitre 1
[2] http://www.mon-abeille.com/apitherapie.php
[3] Voir mon article l’Apithérapie et l’Égypte ancienne : http://articles-naturame.blogspot.com/2009/09/lapitherapie-et-lancienne-egypte.html
[4] Cours apithérapie htt ;/www.apitherapy.com– Chapitre 36, 46 , 56
[5] Le miel et la santé : http://soleilliquide.blogspot.com/2009_01_01_archive.html
[6] Site du Dr Donadieu http://www.01sante.com/xoops/modules/icontent/index.php ?page=927
[7] Site du Dr Donadieu http://www.01sante.com/xoops/modules/icontent/index.php ?page=928



Benoît Tramblay Membre de l'association des Naturothérapeutes - RITMA http://www.naturame.ca http://www.naturame.alchymed.com http://articles-naturame.blogspot.com/ http://www.ebiovallee.ca

http://www.naturavox.fr/L-apitherapie-les-vertus-du-miel.html
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27 octobre 2009 2 27 /10 /octobre /2009 19:16

Une décision du tribunal fédéral suisse vient définitivement d’interdire des expériences sur des macaques rhésus menées dans le cadre de recherches en neurosciences.
Une victoire dans la lutte pour que cessent les tests sur les primates.

En 2006, lorsque deux chercheurs de l’institut de neuroinformatique de Zurich déposent, comme il est de rigueur, une demande de validation d’un protocole d’expérimentation impliquant des macaques rhésus, ils ne s’attendaient probablement pas à un refus.
L’office vétérinaire zurichois avait validé leur dossier mais celui-ci devait encore passer entre les mains de la Commission de protection des animaux. Et là, c’est un non ferme.
La Commission juge que ces expériences violent la dignité de l’animal.

Une première expérience consistait à priver les macaques d’eau durant 12 heures.

Le but : les inciter à mieux collaborer avec les humains dans divers tests d’apprentissage qui, s’ils étaient réussis, se soldaient par un jus de fruit.


Une torture physiologique et psychologique de degré 3, le degré maximal, selon la commission et donc intolérable.


La deuxième expérience impliquait le sacrifice des macaques afin d’étudier leurs microcircuits cérébraux.

Des pratiques toutes deux inacceptables.

Inscrit en 2004 dans la constitution, la Suisse reconnaît aux animaux le droit d’être respectés et considérés comme des êtres sensibles et condamne toute offense faite à leur dignité.

L’interdiction de ces expériences sur des primates pouvait donc sembler logique sur ce seul argument.

Néanmoins, c’est sur un autre argument que s’est appuyé le tribunal fédéral pour rejeter définitivement la demande des chercheurs en octobre 2009.

En effet, il a jugé que les bénéfices scientifiques potentiels de ces recherches étaient trop faibles pour justifier une telle souffrance.

Cette décision s’appuie sur la loi suisse qui exige, outre le principe constitutionnel de dignité animale, que soient soigneusement évalués les bénéfices d’expérimentations pour la recherche au regard des souffrances infligées aux animaux.


En avançant l’argument de la compétitivité dans le domaine des neurosciences pour justifier l’injustifiable, les chercheurs démontrent une nouvelle fois leur mépris pour l’animal considéré comme un simple matériau dont on peut disposer à l’envi. Ils se disent par ailleurs prêts à continuer leurs recherches dans un autre pays européen, moins regardant en ce qui concerne l’expérimentation animale.


Cette décision pourrait faire jurisprudence en Suisse et ainsi signer l’arrêt de l’expérimentation animale dans le pays.


One Voice espère que cette décision influencera la commission européenne dans le cadre de la révision de la directive 86, qui pour l’heure fait la part belle à des souffrances intolérables.

One Voice rappelle également que, dans le cas des expériences sur les primates, l’origine des animaux est bien souvent douteuse…


Un élément de plus pour consacrer cette grande victoire !

Source : OneVoice

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