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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 15:48
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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 15:45
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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 13:37

Alors que le Code Civil considère toujours nos animaux de compagnie comme un "meuble" - à l'instar d'une vulgaire chaise – , un chien a été décoré par le ministre de l'Intérieur de la médaille de bronze pour acte de courage et de dévouement le 7 septembre 2009, au même titre qu'un homme aurait pu l'être.

Une initiative saluée par la Fondation 30 Millions d'Amis.


Pacha décoré par le ministère de l'IntérieurPacha, un berger belge malinois de neuf ans, est membre de la brigade canine de Paris.

Après six ans de bons et loyaux services aux côtés de son maître, le brigadier-chef David Berceau, le matricule 2765 comptabilise plusieurs milliers de missions à raison de 140 perquisitions par mois.

Ses derniers faits d'armes parlent d'eux même : 16 000 cachets d'ecstasy en 2006 et une prise record d'1,2 tonne de cannabis en avril 2009, ou plus récemment 3 kilos de cocaïne dans les semelles d'un voyageur.


Si Pacha s'est illustré comme un chien au flair particulièrement aiguisé, son maître ne cache pas sa satisfaction de voir enfin son élève récompensé :


"C'est une (r)évolution, cette médaille, un tournant !

Peut-être que l'administration considère peu à peu le chien non plus comme un simple outil que l'on s'échange entre conducteurs, mais comme un membre à part entière de la "canine".

C'est la reconnaissance de toutes ses missions menées à bien, de toutes ces vies sauvées et d'une grande abnégation dans le travail".

Une médaille à double face, donc pour un chien déjà décoré "chien héro" par la Société Centrale Canine en juin 2009.


Force est de reconnaître que, même si les sept coéquipiers à quatre pattes de Pacha à "la canine" qui compte une soixantaine de chiens, font preuve d'autant de flair que leur aîné, c'est tout de même ce dernier qui leur a ouvert bon nombre de portes.

En particulier celle des nouvelles techniques de recherches.


En effet, Pacha a été le premier chien de la brigade canine de Paris à compléter son dressage traditionnel avec la méthode dite "SOKKS" (des initiales de ses inventeurs).


Pacha lors d'une grosse prise de cannabisCette méthode consiste à isoler les molécules de base des produits stupéfiants – opium, cocaïne, amphétamines, méta-amphétamines, cannabis, ecstasy, LSD – de sorte que le chien, habitué à ces "odeurs pures", puisse les détecter mélangées, "coupées" à toutes sortes d'autres substances ou présentes sur des armes ou des billets de banques.

Les chiens qui, jusqu'à il y a quelques années, ne pouvaient pas détecter les drogues de synthèse, sont à présent incollables et la fiabilité de leurs capacités olfactives s'est trouvée renforcée de 28%, faisant d'eux des éléments policiers quasi-infaillibles.


Cette fiabilité, c'est aussi ce qui fait dire à David Berceau qu'"au fil des années, [sa] confiance en Pacha est allée grandissante. Nous nous connaissons l'un et l'autre par cœur et je sais que je peux compter sur lui", reconnaît le brigadier-chef.


Car Pacha, comme beaucoup de chiens de la canine, c'est aussi une rencontre, un hasard.

"Lorsque j'étais homme-assistant dans un club canin, j'entraînais toutes sortes de chiens, dont Pacha. Il appartenait à un gars chargé de la sécurité ferroviaire et puis l'administration n'a pas voulu prendre le chien en charge et le gars a du s'en séparer. Je n'ai pas pu lui dire non et je l'ai récupéré."


Très vite, le brigadier-chef détecte les capacités de son nouveau compagnon et lui fait suivre la formation traditionnelle dispensée par le CNFUC (Centre National de Formation de l'Unité Cynophile).


Le 27 juin 2000, Pacha est reconnu apte à travailler chez les "Stups", les policiers spécialisés dans la lutte contre les trafiquants de drogue.

Pacha en service

Le brigadier-chef David Berceau, c'est aussi le poil à gratter de la canine. Soucieux de faire son travail au mieux et de faire profiter son équipe des dernières technologies, il invite sans cesse sa hiérarchie à moderniser ses techniques.


C'est ainsi qu'il obtient le droit de former Pacha en Suisse à la méthode SOKKS.

Les preuves sur le terrain ne se font pas attendre et quatre autres chiens lui emboîtent le pas.

Aujourd'hui, l'intégralité de la brigade "est" SOKKS.


Commence pour Pacha une carrière de chien policier jalonnée de réussites. Dans les couloirs de la brigade, Pacha est connu et même reconnu.


"Tout le monde a confiance en lui maintenant c'est un chien d'expérience, lance fièrement David Berceau, Et il a marqué un changement, une amélioration, la preuve qu'un chien peut gagner en efficacité et s'adapter."

A neuf ans, Pacha mérite un peu de repos même s'il reste "une vraie boule de nerfs complètement speed, un malinois quoi !" comme le souligne son maître en souriant.

A l'heure où ce chien de métier pourrait prendre sa retraite, son successeur, Prince, malinois lui aussi âgé de 2 ans et demi, est en "rodage".

"C'est aussi un don, Prince, explique David Berceau, Un chien laissé en urgence chez un vétérinaire parce qu'il avait mordu un touriste à travers sa muselière. Il était classé en catégorie 3 à la limite de l'euthanasie. On ne pouvait plus le placer en famille. On m'a appelé, j'ai vu le chien, je l'ai testé sur quelques exercices et je suis reparti avec lui. Il n'a pas de papiers, mais quelle importance ? Je le trouve beau !".


Prince est encore un "bébé" comparé à Pacha qui devrait couler des jours heureux aux côtés de la petite meute familiale que le brigadier-chef Berceau a constitué au fil des années.

Pacha en civilBeaucoup de travail reste à faire pour permettre à ce jeune toutou de se hisser à la hauteur de son aîné ce qui inquiète parfois son maître, initié aux sports canins par son père, qui avoue : "Pourtant je sais comment cela se passe.

Les débuts d'un jeune chien sont toujours un peu compliqués.

On butte sur certaines choses, moins sur d'autres. Il faut de la patience, prendre son temps pour gommer les petits défauts du dressage, le rendre optimal, et apprendre petit à petit à se faire confiance."

Un nouveau défi pour le maître de "Pachou" !


Article publié le : 06-10-09

http://www.30millionsdamis.fr/acces-special/actualites/detail/article/1268-pacha-matricule-2765.html
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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 07:09


Valérie Porta, à gauche, a accueilli dans sa ferme du sud-Sarthe, hier, les défenseurs des animaux. Une trentaine d'entre eux est venue la soutenir après « l'assassinat » de Léa, la mascotte de la forêt de Léa qui recueille cochons et sangliers maltraités.
 
 

La laie, mascotte du refuge sarthois qui recueille cochons et sangliers maltraités, s'est fait tirer dessus. Les défenseurs des animaux se mobilisent à Savigné-sous-le-Lude.

Les mordus de l'émission 30 millions d'amis se souviennent peut-être de Léa, une petite laie présentée à la télévision en 2004. Cette femelle sanglier était la mascotte de La forêt de Léa, une association sarthoise dont le but est de recueillir, depuis deux ans, les animaux à groin maltraités ou abandonnés. Léa a été « assassinée » par des chasseurs, dimanche dernier, à Savigné-sous-le-Lude dans le sud-Sarthe. Son corps a été retrouvé par un garde-chasse à deux pas de la ferme qui héberge l'association.

C'est la consternation du côté des défenseurs des animaux. Informée par des forums et des sites internet spécialisés, une trentaine d'entre eux s'est donné rendez-vous, hier, à La forêt de Léa. Venus de Paris, d'Angers, de Bretagne, de l'Eure... ils ont défilé au Lude et à Savigné-sous-le-Lude avec des pancartes « Qui est l'assassin de Léa ? » Et en distribuant des tracts.

Pour les gendarmes, il est encore trop tôt : « une enquête est en cours. » Du côté de La forêt de Léa, cela ne fait aucun doute. « On est connu comme le loup blanc par les chasseurs car il y a de belles choses à manger ici. Léa était corpulente. C'est sûr, ils m'ont tué Léa pour la bouffer, déplore Valérie Porta, maîtresse des lieux. J'ai souvent des chiens de chasse qui viennent jusque devant ma porte d'entrée » Le comble ? Ce refuge à sangliers est pile poil au beau milieu d'une réserve de chasse. « Ils ont découpé le grillage de notre parc et ont attiré Léa avec de la bouffe pour la faire sortir », estime Valérie. Et pour cette femme au coeur tendre, que l'on sent écorchée par les ronces de la vie, ce drame n'arrive pas seul : elle et ses quarante pensionnaires se retrouvent sous le joug d'une expulsion. « Son propriétaire a vu des images de sa maison avec des cochons dans les pièces d'habitation. C'était pour l'émission de Jean-Luc Delarue. L'équipe de tournage a demandé à ce que des cochons soient filmés à l'intérieur, explique Dominique Berger, représentant l'association Stéphane Lamart pour la protection des animaux. J'ai fait la démarche auprès de Jean-Luc Delarue pour qu'il explique la situation. Mais ça ne marche pas. »

Résultat, l'expulsion est prévue le 15 mars. « Nous allons faire appel », poursuit Dominique Berger. D'ici là, l'association qui vit grâce aux dons cherche un nouveau lieu, avec au moins 5 ha de terrain. Valérie Porta, elle, déclare faire la grève de la faim depuis le 5 septembre en ne s'alimentant qu'avec de l'eau citronnée et quelques vitamines.

http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Lea-vue-dans-30-millions-d-amis-a-ete-tuee-_-1093067------72154-aud_actu.Htm
 




PETITION POUR QUE L'ASSASSIN DE LEA SOIT SEVEREMENT PUNI :
http://www.lapetition.be/en-ligne/les-assassins-de-la-doivent-tre-punis-svrement-5095.html
 




Il existe une solution possible pour sauver les Animaux de LA FORET DE LEA :


Afin d'acheter un terrain de 5 hectares (minimum) avec une maison dessus (ayant eau et électricité) et de pouvoir ensuite la louer à Valérie ;
il nous faudrait créer une Société Civile Immobilière.


Koikçékça ? :

Une SCI est la gestion d'un patrimoine et dans notre situation, il s'agirait de plusieurs personnes (moi, vous, nous...) de
s'engager à "prêter" une somme d'argent pour un montant de notre choix, sachant qu'une part sociale est de 100 euros  (par exemple, moi je peux
prêter 1000euros, soit 10 parts ; un autre pourra peut-être prêter 100euros, soit 1 part... etc) et on établit un listing des personnes qui souhaitent participer à ce projet - lorsque la liste des personnes indique que les
sommes prêtées par elles nous amèneraient à 100 000 euros, on crée la SCI et c'est alors seulement que les personnes qui se sont engagées
apportent la somme d'argent sur le compte. Cette somme d'argent leur sera rendue chaque mois, sous forme de loyer divisible à chaque
prêtant, dès l'entrée de Valérie dans la maison.

Vous êtes motivés pour aider Val à sauver les animaux et faire durer l'Association de LA FORET DE LEA ?
inscrivez-vous sur notre listing en mettant votre nom, mail, tel, ville et somme que vous pourriez prêter
adresser ces informations à :


Françoise 1 : sannier.francoise@gmail.com
Elisabeth : DONZELEl@cc-parthenay.fr
Françoise 2 : m.leveque2@numericable.com


Société Civile Immobilière définition :

La SCI n'a qu'un but : la gestion de patrimoines immobiliers. Elle ne peut avoir aucune activité commerciale, comme l'achat et la revente
régulière de biens immobiliers. Cependant, elle peut acheter des biens, et les revendre quelques années plus tard sans pour autant en
faire un commerce non meublé les locaux et appartements dont elle est propriétaire, sans pour autant que ces opérations soient
considérées comme "commerciales". Bien au contraire, la location entre dans le champ d'attribution des prérogatives autorisées de la SCI.
Et si l'on connait les grandes lignes de la SCI classique, on ignore beaucoup plus, la SCI à capital variable, laquelle offre en plus, de
nombreux autres avantages (infos) comme la possiblité de changer d'associés sans avoir à refaire toutes les formalités et par là même,
à éviter les dépenses de modifications, a n'avoir pas à faire figurer les nouveaux associés dans les statuts en toute validité
(en raison de la profession de certaines personnes, la discrétion étant recherchée), achat d'un bien immobilier dans un cadre
professionnel/société commerciale, etc...

--
" Le jour où les humains comprendront qu’une pensée sans langage existe chez les animaux, nous mourrons de honte de les avoir enfermés dans des zoos et de les avoir humiliés par nos rires..." - Boris Cyrulnik.
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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 20:10

Il en coûte entre 200 et 300 euros à un propriétaire de chien dit "dangereux" pour tenter de sauver son chien...

Vous pouvez l'aider à sauver son compagnon avec... seulement

54 centimes !

 

Avec la loi de juin 2008, il en coûte en moyenne 200 à 300 euros, entre l'évaluation de son chien et la formation à suivre, à un propriétaire pour se mettre en conformité avec la loi...

 

Encore faut il qu'on lui en laisse le temps !

 

Les textes d'application de cette loi sont sortis avec un an de retard : au lieu des 18 mois prévus, les propriétaires n'ont eu dans les faits qu'à peine six mois pour se mettre en règle.

Pire encore, les formateurs habilités à les former sont aujourd'hui (5 octobre 2009) à peine 60 au niveau national ! Comment peut on croire que 250.000 propriétaires pourront se former auprès de 60 formateurs en 3 mois ???

 

Le problème c'est que si un propriétaire n'a pas pu suivre la formation, il ne peut obtenir le permis de détenir son chien avant le 31/12 et risque donc de voir celui-ci euthanasié  !

 

Même si cela paraît invraisemblable, il faut donc convaincre le Ministère de l'Intérieur de reporter d'une année la date du 31/12/2009.

 

Vous pouvez apporter votre aide concrète !

 

Pour cela, il suffit tout simplement :

- d'imprimer le courrier ci-dessous ;

- d'ajouter vos coordonnées ;

- de le mettre dans une enveloppe timbrée à 54 centimes ;

- de le poster ;

- de nous signaler votre démarche à info@against-bsl.eu afin que nous puissions montrer et rapporter l'ampleur de ce mouvement.

 

Ca ne vous coûte (presque) rien, ça vous prend 3 minutes et cela peut sauver des chiens, réellement !

 

Téléchargez la lettre au format PDF

Téléchargez la lettre au format Word

 

 

 

 http://www.against-bsl.eu/54_cents.htm

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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 15:21



 Cette mycose externe contagieuse s'étend rapidement.

Cependant, elle est facilement diagnostiquée et enrayée à condition de suivre des traitements de longue durée.


Un simple contact suffit !


Les vieux chats ou chiens, les animaux atteints d'une maladie immunodépressive ou traités par des corticoïdes ont plus de risque de développer une teigne qu'un jeune animal en bonne santé et élevé dans de bonnes conditions sanitaires.

Prenez donc garde si votre ami perd ses poils d'une façon inhabituelle, sans présenter de démangeaisons.


S'il s'agit d'une authentique teigne, un simple contact peut vous la transmettre !

Pensez-y s'il présente des dépilations diffuses, en particulier sur le nez, la face externe des oreilles, sur les flancs ou l'extrémité des pattes.

Parfois, la teigne se traduit par une chute de poils avec présence de croûtes, de squames, de poils ternes et cassants.


Autre possibilité : des dépilations rondes avec un pourtour très inflammatoire.


Chez les chats âgés ne faisant plus leur toilette sur le dos, on trouve des "bouchons" de poils très durs.

En revanche, chez les chatons à poils longs et fournis (angoras et persans) les lésions cutanées ne sont pas toujours visibles, recouvertes par la fourrure, on court le risque de passer à côté du diagnostic !

 

Pas question de vous lancer dans un gros toilettage car certains shampoings, un brossage trop énergique ou une tonte brutale peuvent aggraver la teigne par irritation de la peau et dissémination des spores de champignons !

Mieux vaut emmener votre animal chez le vétérinaire.

Ce dernier établit le diagnostic si les lésions sont typiques.


En cas de doute, un examen des lésions à la lumière de Wood est utile et pour les cas plus compliqués, des cultures de squames et de peau s'avèrent parfois nécessaires. Le traitement de la teigne est à la fois général et local.

Il dure plusieurs semaines.

Pendant ce temps, le vétérinaire conseille en général d'effectuer une tonte réalisée avec précaution, afin d'éliminer le plus possible de parasites et faciliter l'application des crèmes et des pulvérisations.

L'animal malade doit être isolé de ses congénères et ses effets personnels (manteaux, tapis, coussin, etc.) doivent être détruits.

Dans un premier temps, on doit le cantonner dans une pièce carrelée, facile à nettoyer, passer régulièrement l'aspirateur en jetant aussitôt le sac rempli de poils et pulvériser une substance fongicide. E

nfin, si vous possédez d'autres animaux, ils doivent tous recevoir un traitement local, à titre préventif.

 

http://www.voyageslouk.com/animaux/teigne.htm

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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 15:14
L'amour est parfois un peu chien

L'amour est parfois un peu chien


Je mime un lancé de balle, il part en courant, ses oreilles se lèvent mais rien à l’horizon et pour cause…

La balle est derrière moi.

Mais en pointant mon doigt dans la direction secrète, à sa grande satisfaction, il est capable de repérer l’objet qui avait échappé à sa convoitise.

Cette histoire semble naturelle, presque banale et pourtant ce que chien et humain sont capables de réaliser ensemble est unique.

Imaginez le travail mental nécessaire pour comprendre ce que la direction de ce doigt indique, comprendre que ce mouvement est la traduction d’une pensée.

Le simple fait de pouvoir reconnaître qu’une autre espèce peut penser est en soi fantastique.

Alors certes mon bichon doit se dire que je ne suis pas le plus expressif des êtres mais c’est déjà pas mal.

Nombreuses sont les espèces qui ont une intelligence sociale qui permet à ses membres de co-habiter et de co-opérer.

Les loups, par exemple, probables ancêtres du chien, vivent en meutes, chassent ensemble et ont une hiérarchie complexe.

Mais les chiens ont développé une intelligence sociale extrêmement riche qui leur permet de s’intégrer dans nos vies.

Des scientifiques s’intéressent aujourd’hui aux causes qui ont permis cette cohabitation (presque toujours !) harmonieuse.

Décrypter la pensée canine

Essayer de décrypter la pensée canine est un des passe temps favoris des propriétaires de chiens.

Tout le monde se considère comme expert de son propre chien, mais jusqu’à présent peu nombreuses sont les études scientifiques sur le sujet.

Ces études ne sont pas simplement destinés à satisfaire la curiosité des millions de personnes qui aiment leurs chiens, elles peuvent aussi déboucher sur des façons plus efficaces de dresser des chiens ordinaires ou des chiens de travail repérant des bombes ou guidant des aveugles.


La première règle de ces études est de ne pas se fier à son intuition.

Ce n’est pas parce que la chien a l’air de comprendre des mots que c’est le cas.

Prenons par exemple le baiser que votre chien vous donne lorsque vous rentrez chez vous.

Ca ressemble à un acte d’affection mais ça pourrait tout aussi bien être une manifestation de faim.

Les loups se lèchent aussi la gueule entre eux particulièrement quand l’un d’entre eux retrouve la meute.

C’est un moyen d’utiliser leur odorat et leur goût pour voir si l’arrivant a attraper une proie durant sa journée de chasse.

Lorsque c’est le cas, la léchouille occasionne souvent le vomissement d’une partie de sa proie pour les autres membres de la meute.

Le baiser de votre chien pourrait tout aussi bien avoir la même signification.

Les chiens sont-ils des manipulateurs ?

Les recherches soulignent également que certains comportements sont destinés à nous manipuler plutôt qu’à communiquer avec nous.

Ils pourraient bien être des acteurs hors pair !

Nous avons tous vus des chiens coupables qui courbent le dos et en baissent la queue.

Si on piège un maître en lui faisant croire que son chien s’est mal comporté alors que l’animal est innocent il adopte la même attitude lorsqu’il est grondé qu’il soit coupable ou non.

Cela démontre qu’ils ont appris à adopter une attitude soumise quand leur maître s’énerve plutôt qu’à distinguer le bien du mal.

Ce genre de mise en situation nous montre combien les chiens sont attentifs à l’homme et apprennent de leurs observations.

La faculté de reconnaître certains mots s’inscrit dans la même logique.


Au final, on peut s’interroger : maître ou chien, qui est le vrai dresseur ?

http://feeds.feedburner.com/Myeasypetcom

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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 15:09

Comme chez tous les mammifères, la première dentition, dite dentition lactéale, est temporaire. Le remplacement se fait a partir du quatrième mois en sens inverse, c’est à dire que les premières dents à être remplacée sont les incisives centrales.

15 jours plus tard les mitoyennes sont remplacées (les dents juste devant les canines). Les coins le sont à 5 mois, âge auquel les crocs proprement-dit commencent à poindre. Les molaires apparaissent entre 6 et 7 mois et entre 7 et 9 mois « la bouche est faite» .

Le chien a une denture de 42 dents.


La dentition est primordiale chez le chien

La dentition est primordiale chez le chien


Une particularité des chiens est l’usure de leurs incisives qui permet, si le régime alimentaire est correct et si l’animal n’a pas de vices masticatoires, de déterminer assez précisemment son âge.

A 4 ans on assiste au nivellement des pinces supérieures; à 5 ans, à celui des mitoyennes supérieures.

Entre 7 et 9 ans, les couronnes sont très usées et les croc émoussés. Au-delà, les dents s’entartrent de plus en plus.


Dans les concours et expositions, les juges sont sévères sur la constitution de la denture des chiens, car c’est le seul organe préhenseur de ces derniers.
Une réduction de la formule dentaire serait catastrophique, au fil des générations, pour des chiens d’utilité comme des chiens de défense par exemple.
Et elle serait très ennuyeuse pour le confort, voire la survie de la plupart des autres races.

http://www.myeasypet.com/blog/2009/09/les-chiens-ont-les-crocs/?utm_source=Newsletter6&utm_medium=article2&utm_campaign=021009
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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 14:58

cerf en foretSeul et dernier pays en Europe à conserver des méthodes de chasse d’une autre époque, la France maintient par « tradition » la chasse à courre, héritée d’un temps où la violence, la cruauté, la barbarie étaient autant de plaisirs que l’ancienne noblesse s’offrait comme divertissement.
Pire en affichant plus de 400 équipages repartis sur la quasi-totalité du territoire national elle dit aujourd’hui s’enorgueillir de perdurer dans l’exercice d’une pratique qui fait de la souffrance de l’animal poursuivi une source  de jouissance aussi morbide que perverse.

Insensibles à la douleur physique, à la monstruosité d’une pratique barbare, les chasseurs à cor et à cri banalisent, fêtent et célèbrent, avec la sainte bénédiction de l’Eglise de France, le massacre et la torture infligée aux animaux chassés se gorgeant  d’un spectacle de sang et de douleur digne des pires tortionnaires de l’histoire de l’humanité.

Et ceci saison après saison dans le plus total mépris de la vie, du respect de notre bien à tous – la richesse naturelle de la faune sauvage. Dans la plus superbe des insolences aussi, servie par la piétaille et la canaille qui lui sert d’alibi, abreuvant le petit peuple suiveur des mises en scènes à la hauteur de toutes les atrocités commises par l’homme sur les champs de bataille de jadis.

Ils détiennent le pouvoir, ils détiennent les plus grandes fortunes, ils dirigent ce pays, ils sont souvent châtelains.

Est-ce l’image que la France veut donner d'elle-même au XXIème siècle ?

http://www.chasse-a-courre.com/

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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 14:37

6- Certains des slogans annoncent la mort pure et simple de la chasse.
6- Certains des slogans annoncent la mort pure et simple de la chasse.


Un doux soleil d'automne joliment doré se répandait sur cette colère rouge des chasseurs ariégeois, très remontés, mais qui a su contenir tout débordement.

Dès 8 heures, par petits groupes, descendus des montagnes ou venus des vallées, ils sont arrivés par petits groupes oranges, les banderoles faites maison sagement roulées, les cornes de chasse pendues à l'épaule.

La marée humaine a paisiblement envahi les allées de Vilotte à l'heure où la ville s'éveillait doucement.

Les manifestants ont civilement attendu qu'ils soit dix heures tapantes pour déclencher les hostilités : cornes à en décrocher les tympans, concert de pétards, applaudissements nourris lors des interventions des représentants. Puis, les sept mille manifestants ont pris le chemin de la préfecture, où une délégation a été reçue par un préfet souriant.

Jacques Billant, accompagné du directeur départemental de l'agriculture Jean-François Desbouis, a discuté avec ces représentants pendant une petite heure.

A l'heure du casse-croûte, souvent tiré du sac, les manifestants se sont sagement dispersés.


Ils ont manifesté leur colère

L'ours en tremble encore.

Et, si la rumeur de la manifestation est arrivée jusqu'à ses oreilles, il n'a pas fini de s'inquiéter, car la colère des chasseurs, sept mille hier dans les rues de Foix, avec le renfort des agriculteurs et des élus notamment, ne va pas retomber.

En effet, la mobilisation s'est heurtée à une impasse.

Et la colère, au prochain incident, ne pourra que s'amplifier.

De son rendez-vous avec le préfet de l'Aude, la délégation conduite par le président de la Fédération de chasse n'a rien retiré (1) : « le Préfet n'avait rien à nous dire, a assuré Jean-Luc Fernandez, à la fin de l'entrevue.

Mais il nous a écoutés : A lui de faire remonter nos revendications au ministère ».

Ces revendications portent notamment sur la question des zones à ours.

Le ministère en voit trois types (zones de tanière, zones d'élevage des petits, etc).

La Fédération de chasse, elle, n'en veut pas l'ombre d'une seule. « C'est une nouvelle attaque dirigée contre votre permis de chasse.

Mais nos parents se sont battus pour l'avoir et nous le défendrons coûte que coûte, a indiqué Jean-Luc Fernandez depuis sa tribune du haut des allées de Vilotte.

Aujourd'hui, le monde rural est à nos côtés et c'est un très bon signe.

Tous nos élus sont là également.

Il faudra en tenir compte pour l'avenir ».

Car le président de la chasse s'en dit certain, il y aura d'autres batailles à venir, notamment sur la question des fameuses zones à ours : « Dans l'Ariège, nous résisterons, nous nous opposerons, et nous seront présents sur les montagnes quoi qu'il arrive ».

Un chasseur, dans la foule, commentait : « C'est une belle manif, mais tout reste encore à faire ».

Outre l'ours, les associations de protection ont fait l'objet d'un tir nourri :

« Nous n'avons de leçon à recevoir de personne en ce qui concerne la protection du milieu naturel.

Et surtout pas de ceux dont on attend encore les premières actions sur le terrain », a notamment souligné le président de la fédération de chasse des Pyrénées-Orientales, Alain Esclopé, venu en voisin et ami.

Très offensif, le maire de Saint-Lary et président de l'Aspap, Gérard Dubuc, a prévenu : « Nous sommes dans un combat à la vie, à la mort.

L'écologie extrémiste ne gagnera pas la guerre des territoires.

Les Pyrénées ne seront jamais cette frontière sauvage qui n'a jamais existé ».

La délégation reçue à la Préfecture était composée de François Toulis, président de la Chambre d'Agriculture, Jean-Pierre Icre, président de la fédération de la pêche, Claude Carrière, président de la fédération pastorale de l'Ariège, Augustin Bonrepaux, président du conseil général, de Henri Nayrou, député, de Philippe Lacube, président de l'ADDIP, de Jean-Luc Fernandez, président de la fédération départementale des chasseurs de l'Ariège, de Raymond Bernié, ex-pdt de la fédération, de Jacques Laffargue, président du syndicat des propriétaires sylviculteurs.


Vos avis de manifestants

« J'ai fait 1 400 km pour venir à cette manifestation ».

Je représente l'association de chasse au chien courant.

Nous sommes six à être venus de Saône-et-Loire pour soutenir nos collègues de ce département.

Ici, là-bas, comme partout ailleurs, les attaques contre les chasseurs se multiplient. Ici c'est l'ours, demain ce sera la loutre ou le lynx.

Il n'est plus question de céder.

Il faut que ces attaques s'arrêtent.

« Il y a de la place pour tout le monde ».

Ce n'est pas normal qu'on privilégie l'ours : il y de la place pour tout le monde dans nos montagnes.

On pratique la chasse, comme ça, depuis des décennies.

Je pense qu'on peut trouver des solutions pour que chacun puisse continuer à chasser sans qu'il y ait de problème.

Je ne suis pas contre les contrôles, mais l'interdiction de la chasse ne réglera pas les problèmes.

« Pour l'ours, je n'ai qu'une envie : que la régulation se fasse et qu'on arrive au point zéro ».

« Il y a dix ans, j'étais modéré. Maintenant, je n'ai plus de patience. J'ai un élevage de cent juments et de soixante-dix vaches que j'ai laissé aujourd'hui pour venir manifester. C'est juste sur le passage des ours. J'ai de gros dégâts chaque année. J'ai eu 14 juments tuées en dix ans. Pour l'ours, je veux qu'on arrive au point zéro".

http://www.ladepeche.fr/article/2009/10/04/686661-Ours-7000-chasseurs-dans-les-rues-de-Foix.html#xtor=EPR-1

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