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14 mai 2009 4 14 /05 /mai /2009 18:58
Un Vidéo - jockey parcours le monde...

The act of playing music with people of different cultures, religions, economics and politics is a powerful statement. It shows that we can find ways of working together and sharing our experiences with one another in a positive way. Music has the power to break down the walls between cultures, to raise the level of human understanding.
~ Mark Johnson, founder, Playing for Change










cinq minutes de bonheur avec stand by me "over the world" La mondialisation quand elle est confiée aux artistes, aux poètes, aux rêveurs, aux gentils... c'est autre chose non ?

Un pur moment de bonheur !!!


http://www.youtube.com/user/PlayingForChange

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12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 16:48

 

Amy Macdonald s'intéresse très tôt à la musique. Elle achète son premier album à l'âge de 12 ans, The Man Who deTravis. Durant son adolescence, elle écrit ses premières chansons accompagnée d'une guitare empruntée à son père. C'est une musicienne autodidacte. Elle écrit notamment un texte sur le fanatisme de sa sœur envers Ewan McGregor. Elle commence à faire de la scène à 13 ans, lorsqu'un groupe de musiciens vient dans son collège pour travailler avec les élèves, et donner des concerts à Glasgow du groupe écossais.


Elle quitte l'école à l'âge de 16 ans, pour se consacrer à la musique. C'est ainsi qu'au lendemain d'un show de Pete Doherty, elle prend sa guitare et écrit sa chanson This Is the Life, qui devient son premier grand succès.


Elle a aussi écrit trois chansons de grand succès : Mr Rock & Roll, L.A. et Run. Entre le mois de mai 2007 et le mois d'août 2008 elle a été en tournée en Angleterre et dans d'autres pays de l'Europe du Nord.

Elle est fiancée avec Steve Lovell depuis 2008.

 

 



Idéal pour avoir la pêche !!!

http://www.amymacdonald.co.uk/

 

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3 mai 2009 7 03 /05 /mai /2009 16:26


Depeche Mode (DM) est un groupe de musique britannique originaire de Basildon formé en 1980. Toujours présent sur la scène internationale, il s'agit d'un des groupes les plus influents et les plus populaires nés au cours de l'ère new wave au sein du courant electro-pop. Son nom provient d'un magazine de mode français.

Après avoir été lancés par le manager de Soft Cell, ils sont repérés par Daniel Miller, qui les fait signer sur son label Mute Records en 1981. Depeche Mode connaît son premier succès aux États-Unis en 1984/1985 avec le single « People Are People ».

Le succès de leur synthpop au style très empreint de musique industrielle est constant jusqu'en 1990 avec l'album Violator incluant les titres Personal Jesus, Policy Of Truth et surtout Enjoy The Silence. Les années 1990 sont marquées par l'addiction à la drogue, l'overdose et la tentative de suicide du chanteur principal, Dave Gahan, qui ne sera désintoxiqué qu'en 1996, mais aussi par le départ d'Alan Wilder en 1995. Le groupe, qui ne comporte plus que trois membres, continue à sortir des albums (Ultra en 1997, Exciter en 2001, Playing The Angel en 2005 et Sounds of the Universe en 2009).

La quasi-totalité des chansons du groupe est composée par Martin L. Gore, sauf celles du premier album (Speak and Spell) qui étaient majoritairement l'œuvre de Vince Clarke, rapidement parti fonder Yazoo, puis Erasure. Depuis 2005, le chanteur Dave Gahan participe à l'écriture de certains morceaux. Martin Gore a beaucoup œuvré pour qu'on ne considère pas Depeche Mode uniquement comme un groupe « de synthés » en utilisant notamment la guitare.

Depeche Mode a eu quarante-cinq titres classés dans le UK Singles Chart, et plusieurs albums classés numéro un au Royaume-Uni, aux États-Unis et dans d'autres pays européens. Selon EMI, le groupe a vendu 75 millions d'albums dans le monde, et plus de 100 millions en incluant les singles.

 

 

 

 

http://www.depechemode.com/

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1 mai 2009 5 01 /05 /mai /2009 16:49

Le second album d’Elvis Perkins est un recommencement. D’ailleurs, il est signé Elvis Perkins in Dearland, du nom du groupe que l’Américain, 33 ans au dernier pointage, forme depuis ses premiers pas scéniques avec trois comparses devenus indissociables de sa musique. A l’époque de la sortie d’Ash Wednesday, premier disque cathartique paru en 2007, on s’attendait à voir débarquer un garçon solitaire voûté par le poids de son histoire personnelle.

Mais Elvis Perkins est au-dessus des pleurnicheries, et ses aspirations à emballer le folk dans une brass music de chambre l’emportaient rapidement. Une grosse caisse pour le tempo, quelques cuivres pour la lumière, et des chansons s’envolant vers autre chose qui faisaient oublier le pourquoi de leur existence : Elvis Perkins a perdu son père (le comédien Anthony Perkins, mort du sida en 1992), puis sa mère, qui se trouvait dans l’un des avions projetés contre les Twin Towers le 11 septembre 2001. Ash Wednesday faisait de ce double deuil un tapis de feuilles cornées à chasser du pied, laissant place nette à l’éclosion d’Elvis Perkins in Dearland.

En 2009, la musique est la continuité des derniers concerts, très orchestrée et instantanée. Mais l’état d’esprit, lui, est tout autre. «J’ai eu ma dose d’attentisme, de confusion et de peur, estimait récemment le chanteur aux lunettes rondes. Je n’y crois plus aujourd’hui.»

Jouer en groupe était au départ une façon de «prendre confiance» face à des chansons qui «n’étaient pas vraiment destinées à voir la lumière du jour». Trois ans plus tard, le groupe a «atteint une nouvelle destination», s’est installé dans sa musique, et laisse entendre ses ambiances boisées dès le titre d’ouverture, Shampoo. La chanson s’amuse avec le Black Is The Color Of My True Love’s Hair, popularisé par Nina Simone, pour hésiter entre le noir de poumons encrassés et le jaune d’un soleil fragile. Comme souvent chez Elvis Perkins, tout est au final «plus léger que déprimé», et surtout très crypté, mais aucun titre de ce second album n’exprime mieux sa nature combative.

Conquêtes. Harmonica au bec et guitare acoustique en bandoulière, Elvis Perkins in Dearland évoque discrètement le Bob Dylan de Blood On The Tracks : même avancée musicale, même moment charnière, même recommencement. Intelligemment construit, le disque est une vaste déclaration d’amour aux conquêtes possibles et impossibles, juxtaposant jusqu’à l’épuisement souriant du petit matin la figure de la mère et celle de la muse (Hours Last Stand), puis perdant la trace d’une idylle sans nom dans l’Amérique de l’après 11 Septembre (Doomsday).

La pièce centrale du disque, Send My Fond Regards to Lonelyville, répond en miroir déformant à While You Were Sleeping, qui ouvrait Ash Wednesday : «Il y a une petite ville pas très loin de New York qui s’appelle Olneyville. J’ai cru longtemps qu’elle s’appelait Lonelyville parce que c’est difficile à prononcer. La chanson raconte une fête, une nuit, quand j’étais à l’école non loin de là… Ça parle de petites choses, alors que While You Were Sleeping était une histoire macroscopique.»

Mi-clos. Une histoire qui se cachait derrière les pensées d’un homme attendant que la mère de ses enfants sorte de son sommeil pour parler du monde d’Elvis Perkins qui, depuis 2001, semblait vivre les yeux mi-clos. Ils sont désormais grands ouverts

http://www.liberation.fr/musique/0101555650-nouvelle-destination-pour-elvis-perkins




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23 avril 2009 4 23 /04 /avril /2009 20:09


Carl Craig (né le 22 mai 1969) est un musicien américain originaire de Détroit, DJ et producteur de musique électronique et de jazz. Il fait partie des artistes influents de la techno de Détroit. Il a fondé son label Planet E en 1996.

Son pseudonyme Paperclip People est probablement inspiré de l'Opération Paperclip. C'est sous ce pseudonyme que Carl Craig à collaboré avec le duo allemand Basic Channel.


 

 

 

http://www.agoraphones.com/modulosite2/fiche.php?id=612&fr=1

 

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13 avril 2009 1 13 /04 /avril /2009 18:23


Le didgeridoo est un instrument de musique à vent de la famille des aérophones. A l'origine, cet instrument est joué par les Aborigènes du Nord de l'Australie, son usage semble très ancien, certains prétendent qu'il pourrait remonter à l'âge de pierre (20 000 ans), d'après une peinture rupestre ancestrale, représentant un joueur de didgeridoo, analysée au carbone 14. C'est une trompe en bois, lointaine cousine du cor des Alpes ou du tongqin tibétain.

Didgeridoo, didjeridoo, didjeridu ou didjeridou, est un mot d'origine onomatopéique inventé par les colons occidentaux à partir du son de cet instrument. Les Aborigènes le nomment différemment en fonction de leur ethnie. Parmi la cinquantaine de noms, les plus courants sont : yidaki, mooloo, djubini, ganbag, gamalag, mago, maluk, yirago, yiraki, etc.

 

Le didgeridoo est principalement fabriqué à partir d'un tronc d'eucalyptus creusé naturellement dans toute sa longueur par des termites. La longueur varie de 100 à 180 cm en moyenne, et le diamètre de 5 à 30 cm. L'embouchure est généralement fabriquée en cire d'abeille pour ramener l'embouchure à un diamètre facilement jouable proche de 30 mm, pour la rendre plus lisse, pour mieux l'adapter à la forme de la bouche et pour la protéger de l'humidité. Les didgeridoos traditionnels peuvent présenter une embouchure recouverte de sugarbag, une cire d'abeilles sauvages, mais ont plus souvent une embouchure directement jouable. Traditionnellement, il peut être décoré par des peintures représentant des scènes de la mythologie aborigène ou des motifs claniques.

Il existe aujourd'hui des didgeridoos creusés manuellement, à partir d'une branche de n'importe quelle essence d'arbre coupée en deux dans le sens de la longueur, afin d'évider l'intérieur, puis recollée : c'est la méthode sandwich.

On en trouve aussi souvent en bambou et en teck, voire en PVC, en argile, en verre, en papier mâché ...

Il existe aussi des didgeridoos accordables. Le principe est de modifier la longueur de la perce par un système de coulisse.

 

Pour jouer du didgeridoo, le musicien fait vibrer ses lèvres comme pour un cor de chasse, cor des Alpes ou une trompette, avec cependant une tension moins forte des muscles labiaux. Une des particularités du didgeridoo, réside dans le fait que la plupart des joueurs utilisent la technique dite du souffle continu ou respiration circulaire. Celle-ci permet de maintenir un souffle d'air constant permettant de jouer sans s'arrêter, même lors de l'inspiration.

Le son de base, le bourdon (ou hoot), est produit par une vibration monotone des lèvres sur l'embouchure.

Pour créer des mélodies, il existe cinq sortes de variations à partir du bourdon :

  • De légères variations du débit d'air, qui abaissent ou augmentent la hauteur de la note du bourdon ;
  • L'amplification d'harmoniques présentes dans le bourdon, à partir de mouvements des lèvres et surtout de la langue ;
  • La variation du volume d'air dans les joues ou des poussées du diaphragme, qui permet des accentuations rythmiques :
  • Les vocalises qui viennent se superposer au bourdon, et qui imitent souvent des cris d'animaux, dans le jeu aborigène ; le joueur peut aussi chanter dans le didgeridoo ;
  • Le quintoiement (survibration ou toot) qui s'obtient par un pincement des lèvres, de manière à souffler comme dans une trompette et qui produit un son de corne de brume proche de l'octave supérieure du bourdon de base. En augmentant encore la tension des lèvres, il est possible d'obtenir d'autres survibrations plus aigües, comme pour un cor de chasse.

Dans les régions où il est culturellement représenté, le didgeridoo accompagne le plus souvent le chant et le jeu des claves, jouées par un ou plusieurs autres musiciens. C'est un instrument réservé aux cérémonies et aux festivités.

Parmi les interprètes notables, on peut citer Alan Dargin, Djalu Gurruwiwi, Xavier Rudd, Matthias Müller, Philip Peris, Mark Atkins, Ash Dargan, David Hudson, David Blanasi, Stephen Kent, Denra Dürr, Ondrej Smeykal, Dubravko Lapaine, Jeremy Cloake, Andrew Langford...

 

 

 

 

 

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13 mars 2009 5 13 /03 /mars /2009 18:57


Le Blue Man Group (Blue Man ou BMG) est un groupe artistique constitué par Phil Stanton, Chris Wink, et Matt Goldman formé en 1988 à New York.

Le Blue Man Group est composé de trente-huit membres, dont les trois fondateurs et une femme : sept troupes, dont une basée toute l’année à Las Vegas, sillonnent le monde.

Actuellement, on peut voir les shows théâtraux du Blue Man Group à New-York, Boston, Chicago, Las Vegas, Berlin, Oberhausen, Amsterdam, Universal Studio à Orlando et Tokyo.

Renommé mondialement, Blue Man Group a remporté de nombreuses récompenses pour ses productions théâtrales. Les critiques les définissent comme "révolutionnaires, délirants, visuellement renversants et musicalement puissants

Ils sont surtout connus pour utiliser des tubes de tailles différentes, de la peinture et des bidons durant leurs concerts ; ils eurent également l'idée de renverser un piano sur le côté avec le dessus ouvert (les cordes sont donc apparentes et face au musicien) et un membre du groupe tape sur les cordes avec un maillet.

Douze millions de spectateurs ont déjà acclamés Blue Man Group à travers le monde

Blue Man a aussi conquis le petit écran avec ses apparitions dans des spots publicitaires pour Intel Pentium 3, Pentium 4 et Centrino (2000-2005). Ils ont également collaboré à l'élaboration de la bande son du dessin animé "Robots" en créant les 25 nouveaux instruments de percussion nécessaires.


Actualités

Le groupe s'est produit avec 10 musiciens et chanteurs pour la première fois avec une adaptation française du 14 au 24 mai 2008 au Palais des Sports de Paris. La tournée continue ensuite à Bruxelles, Amnéville, Strasbourg, Lyon et Genève. Cette tournée s'appelle How to be a megastar 2.1. Ce mega show emporte le public a travers "un atelier" satirique sur le sujet : "comment créer un concert rock parfait". Chris Wink, un des membres fondateurs, explique : "Nous voulons que les spectateurs repartent en ayant l'impression que la vraie magie des concerts rocks vient de leur participation et des éléments communs du spectacle live et non pas des megas célébrités"


Anecdotes 

Le groupe fait une apparition dans plusieurs épisode des "Simpsons" lors du générique au moment où la famille arrive sur le canapé.[réf. nécessaire], mais aussi au début de l'épisode 2 de la saison 18 "Les baguettes magiques".

Nous pouvons aussi les voir dans un épisode de la série Las vegas (saison 1).

Les BMG font également leur apparition dans la série Scrubs saison 6 lorsque JD se fait poursuivre par une troupe de retraités homosexuels sur la musique des "Ok Go".

Ils apparaissent aussi dans un épisode des Griffins dans la saison 4.

On les retrouvent également dans la série Arrested Development où l'un des personnages principaux, Tobbias Fünke (joué par David Cross), tente d'intégrer le groupe.


Instruments 

Les trois personnage du groupes utilisent des objets détournés de l'utilisation normale comme instrument de musique

Les antennes

Sur certains morceaux, il est possible d'entendre des bruits semblables au son que produit une branche qui "fendrait" l'air, une sorte de "wooosh". Ce son est en réalité produit par des antennes de bateau de différentes longueurs ( une de 3 mètres et 2 autres plus petites ) que les Blue Man agitent de haut en bas. Pour pouvoir produite le son, un transducteur est placé au bout de l'antenne. Un bon exemple de l'utilisation de cet instrument est à voir sur la vidéo du "how to be a megastar 2.1" sur le morceau Ligh

Les tuyaux en PVC ou Tubulum

C'est l'instrument de prédiléction des Blue Man. Ces tuyaux en PVC sont fixes et permettent de jouer sur un octave. Chaque instrumentiste en possède un différent. Les tuyaux sont disposés de telle sorte à avoir l'ouverture face à eux ce qui leur permet de frapper dessus avec des "spatules". Le son est donc différent en fonction de la longueur du tube.

Le nom de tubulum proviendrait du terme « Tube you lum »

Le groupe utilise trois types de tubes, l'un en poste fixe, un autre type portable avec un tube par note, et enfin un dernier avec un manchon mobile pour pouvoir moduler la note de façon similaire à un trombone à coulisse.

Le piano smasher

Il s'agit d'un piano sans son couvercle, mis sur le coté sur lequel l'instrumentiste frappe avec une massue souple sur les cordes apparentes pour en sortir un son. En réalité lors des concerts, des capteurs MIDI sont derrière les cordes, et ce sont eux qui produisent les différentes notes. Cet instrument sert surtout en live pour le morceau Baba O'Riley.


Tambour fontaine

Ce sont simplement des tambours sur lesquels ils versent de l'eau colorée. En frappant la peau du tambour, l'eau s'envole en une gerbe colorée, le tout éclairée par le dessous de l'intérieur du tambour

Ambiance colorée

Le groupe joue aussi sur la colorisation avec de la lumière noire. Le personnage du groupe, visage ou vêtement ou les tuyaux, sont en fait recouvert de peinture, qui à la lumière naturel ne montre aucune couleur, mais lorsqu'elles sont soumis à la lumière noire prennent une coloration.

Ils font de même avec des tenue, très sombre, sur lesquelles ils rajoutent des fils lumineux, ou alors utilisent de la lumière laser.







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5 mars 2009 4 05 /03 /mars /2009 19:45


Tout va bien », c'est la devise de Seasick Steve. Une devise étonnante quand on sait qu'il a passé la moitié de sa vie dans le caniveau. Mais à 60 ans bien sonnés, il semble qu'effectivement tout aille bien pour lui.

 

Les nuits blanches de sa jeunesse, Seasick Steve les a passées à écouter la musique de guitaristes comme R.L. Burnside ou Son House - un bluesman du delta du Mississippi, prédicateur, briseur de mariages, taulard et conteur d'histoires hors pair. Et puis, il y a eu l'époque où son blues n'intéressait plus personne. Jusqu'à aujourd'hui, où le revival du blues le propulse à nouveau sur le devant de la scène.

Seasick Steve a grandi dans la rue. A 13 ans, il claque la porte de la maison et se dépatouille à coups de petits boulots. Ses séjours en prison, il a arrêté de les compter. Par contre, il se souvient que la vie en tournée, c'est un peu comme le paradis sur terre. Il a longtemps travaillé dans les studios d'enregistrement en tant que technicien ou homme à tout faire. Au début des années 90, il embarque tout son équipement et quitte le Tennessee pour Seattle. Il y créé un studio qui sera fréquenté par des groupes indie comme Modest Mouse et Bikini Kill. Et puis, bien sûr, les groupes grunge. C'est ainsi qu'il rencontre Kurt Cobain.
LIVE ON JOOLS HOLLAND


Started Out With Nothin (live at Later..)
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20 février 2009 5 20 /02 /février /2009 17:05



Dead Can Dance est un groupe britannico-australien composé essentiellement de la contralto, Lisa Gerrard (née le 12 avril 1961 à Melbourne, Australie) et du baryton, Brendan Perry (né le 30 juin 1959 à Londres, Royaume-Uni). Formé en 1981 à Melbourne, le groupe s'est séparé en 1998 mais s'est reformé en 2005 pour une tournée mondiale.

Dead Can Dance a été l'un des fers de lance du label discographique indépendant britannique 4AD, avec d'autres groupes tels que Bauhaus, les Cocteau Twins, les Pixies, This Mortal Coil ou les Throwing Muses.

Les deux membres fondateurs, Brendan Perry et Lisa Gerrard, ont développé leur propre univers, évoluant de la cold wave originelle vers des musiques d'inspiration liturgiques et médiévales aux sonorités incantatoires voire magiques, avant d'aboutir à une musique plus folklorique aux emprunts nord-africains, sud-américains ou asiatiques.

En 1981 à Melbourne, Brendan Perry fonde Dead Can Dance avec Simon Monroe (batterie) et Paul Erikson (basse), rapidement rejoints par Lisa Gerrard que Brendan a rencontré alors qu'ils se produisent tous les deux dans des clubs locaux. Le nom du groupe évoque un masque aborigène, apparemment macabre mais qui devait symboliser la capacité des choses "inanimées" à devenir animées (comme les instruments de musique par exemple...). En 1982, le groupe déménage à Londres, dont la scène leur paraît plus propice à l'ambition d'une musique non conventionnelle. Simon Monroe étant resté en Australie, le trio recrute le batteur Peter Ulrich, qui habite le même lotissement dans l'East End londonien et c'est avec lui qu'ils enregistrent des démos qu'ils envoient à des maisons de disque. La première année semble très difficile pour les musiciens, qui vivent d'allocations chômage. En 1983, Paul Erikson est remplacé à la basse par Scott Rodger. Le groupe est augmenté dans la même année de James Pinker aux percussions, mais il semble bien que la création musicale procède déjà essentiellement de Brendan et Lisa.

Les démos ayant intéressé Ivo Watts Russell du label 4AD, Dead Can Dance se voit offrir l'opportunité de faire deux fois la première partie du groupe Xmal Deutschland en juin et juillet 1983. Les prestations de Dead Can Dance sont convaincantes, et Ivo signe le groupe et leur permet d'entrer en studio pour enregistrer en septembre. En novembre, Dead Can Dance assure la première partie de Cocteau Twins sur une tournée de 7 dates, puis enregistre une session à la BBC pour John Peel.

Leur premier album Dead Can Dance, sort en février 1984. Il marie les influences rock de Perry avec celles plus mystiques et classiques de Gerrard. Ainsi se côtoient morceaux cold à la basse doucereuse (A passage in time) avec Perry au chant, à des morceaux plus enlevés et éthérés comme Ocean ou Musica Eternal. C'est aussi l'apparition de percussions, chose assez inhabituelle dans le paysage sonore de l'époque et ajoutant à l'ambiance cérémoniale de l'album.

Les premières rentrées financières permettent à Brendan Perry de faire l'acquisition d'un synthétiseur-échantillonneur et d'une boîte à rythmes. Il se lance immédiatement dans la composition de morceaux avec des sons de cuivres, de cordes et des percussions d'orchestre. Ivo Watts Russell leur alloue également plus de temps de studio, et les confie aux bons soins d'un nouveau producteur, John A. Rivers.

Leur second opus, Spleen and Ideal est une référence aux poètes et symbolistes du XIXe siècle, en particulier à Charles Baudelaire, dont le recueil Les Fleurs du Mal comporte un chapitre intitulé Spleen et idéal. L'ambiance générale est plus intimiste, plus sombre, l'instrumentation rock laisse place aux partitions classiques (violon, violoncelle, timbale). La voix de Lisa Gerrard est plus travaillée et plus discernable. La tournée étonne le public, peu habitué à ces ambiances mystiques et magiques, qui tranchent avec la New wave de l'époque, ou encore les atmosphères de concerts gothiques.

Les Dead Can Dance développent encore cette thématique de musique éthérée en produisant Within the Realm of a Dying Sun. Cet album navigue entre morceaux mystiques comme Anywhere out of the world et atmosphériques Summoming of the Muse.

Puis avec The Serpent's Egg, leur quatrième album, ils multiplient les influences et les mélanges. L'émergence du style médiéval se fait sentir dans Orbis de Ignis ou Chant of the Paladin et la musique religieuse baroque dans Ulysses ou Severance.

Aion continue dans cette voie baroque et joue dans le registre de la musique liturgique de la Renaissance.

Dead Can Dance poursuivra ses explorations musicales avec Into the Labyrinth et Spiritchaser, plus influencés par les musiques du monde et les percussions tribales.

Parallèlement et par la suite, ils suivront chacun une carrière solo et multiplieront les collaborations : Denez Prigent, CoEx, Elijah's Mantle, Pieter Bourke…

C'est en 1998, en pleine préparation de leur nouvel album, que le groupe décide de se séparer pour divergence sur la ligne à suivre sur les nouveaux enregistrements. Seul un titre resurgera de ses sessions, il s'agit de The Lotus Eaters present sur l'anthologie Dead Can Dance 1981-1998 (sortit en 2001), ainsi que la compilation Wake (sortie en 2003).

Lisa Gerrard a développé sa propre mélopée aux accents mélancoliques, et est internationalement reconnue depuis sa participation à nombre de bandes originales de films de qualité (Heat, 1995; Nadro, avec Pieter Bourke, 1998; The Insider, avec Pieter Bourke, 1999; Gladiator, avec Hans Zimmer et Klaus Badelt, 2000; Ali, avec Pieter Bourke, 2001, Mission Impossible II (participation), 2001, La Chute du faucon noir, avec Hans Zimmer, 2002; Whale Rider, 2002, Tears of the Sun, avec Hans Zimmer, 2003, et bien d'autres participations...) son langage construit de toute pièce comme un esperanto de la World Music.

Brendan Perry a plus modestement écrit Eye of the Hunter et collaboré aux projets ci-dessus cités.

2005 marque la reformation du groupe avec une tournée d'adieu européenne et nord-américaine. L'occasion de découvrir de nouvelles compositions telles que Saffron ou Hymn For The Fallen. Cette tournée fera l'objet de la sortie de la plupart des concerts en double album en tirage limité.

En 2008, dix ans après leur séparation, a eu lieu la réédition et remasterisation de tous les albums officiels sortis chez 4AD. Dans un premier temps en juin 2008, est sortie la collection "Audiophile Edition", éditée au Japon par Warner en association avec 4AD à quelques milliers d'exemplaires (6000 pour les albums, 3000 pour Garden of the Arcane Delights), proposant dans un format SACD luxueux chaque album dans son format d'origine dans une pochette cartonnée réplique du vinyle 33 tours.
 La liste des morceaux de chaque album respecte celle des vinyles. C'est ainsi que Garden of the Arcane Delights a fait l'objet d'une sortie séparée, et que Into The Labyrinth inclus les titres Spirit et Bird ; la compilation A Passage in Time n'étant pas rééditée. En novembre 2008, les albums remasterisés sont sortis au format CD en boitier Super Jewel Case. La liste des morceaux, cette fois-ci, est la même que pour la sortie au format CD d'origine. La remasterisation a été effectuée par le célèbre studio Mobile Fidelity Sound Lab
Cette même annèe, le label Vinyl 180 a quant à lui commencé une réédition de luxe au format vinyle. Les premières sorties sont Dead Can Dance et Spleen and Ideal






http://www.myspace.com/deadcandance


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20 février 2009 5 20 /02 /février /2009 16:30



L'artiste aborde, à travers la musique électronique, une multiplicité de genres musicaux où il puise son inspiration aussi bien dans la techno, que dans le blues ou le rock.
Avant d'avoir acquis sa notoriété actuelle, Moby a produit sa musique sous différents pseudonymes tels que Voodoo Child, Barracuda, UHF, The Brotherhood, Schaumgummi, DJ Cake, Lopez, Brainstorm & Mindstorm ou The Pork Guys.

Biographie

Richard Melville Hall né dans le quartier de Harlem à New York, fils de James Hall, professeur de chimie, et de Elizabeth McBride Warner, secrétaire médicale. C’est elle qui le surnomme Moby, en hommage à son arrière-arrière-grand-oncle Herman Melville, l'auteur du célèbre roman Moby Dick.


Apprentissage musical

Dans les mois qui suivent sa naissance, Moby vit avec ses parents dans un appartement de New York avec une chienne (Jamie), un chat et trois rats de laboratoire… Il a à peine deux ans lorsque son père meurt dans un accident de la route. En 1969, après un passage dans le San Francisco hippie de l'été de l'Amour, Richard et sa mère emménagent chez les grands-parents, Myron Warner et Jeanette McBride Warner, dans une maison cossue de Darien (Connecticut). En 1973, le garçon fréquente la Royale Grammar School et son meilleur ami, à cette époque, est Robert Downey Jr., aujourd'hui acteur de cinéma. C'est deux ans plus tard, en 1975, que le jeune Richard Hall commence à jouer de la guitare : il a dix ans. Il se perfectionne et monte en 1979 son premier groupe qui ne sait jouer que « Money » des Pink Floyd et « Birthday » des Beatles. Optant pour un genre musical radical, Moby forme son premier groupe punk, les Vatican Commandos, en 1980.


Vers la scène techno

Tout en gardant l'agressivité des débuts, il s'ouvre vers d'autres styles de musique et reçoit en 1983 son premier enregistreur 4 pistes qu'il installe dans la cave de sa mère. Cette même année, il entre à l'université de Connecticut dont il ressort vite, dès 1984, pour s'installer comme DJ au Beat, à Port Chester dans l'état du New York.
Commence une période pénible : en 1986, Moby déménage de Darien à Greenwich, Connecticut et squatte d'abord dans un vaste hangar, puis à Stamford, Connecticut, dans une usine à moitié abandonnée et sans eau courante tout en s'imposant comme DJ résident au club MARS de New York. En 1989, Moby éveille finalement l'intérêt d'un nouveau label new-yorkais, Instinct Records. Le musicien finit par emménager dans un appartement sombre et sale de New York, au croisement de la 14e Rue et de la 3e Avenue. La même année, il connait un premier succès d'estime avec le groupe Ultra Vivid Scene, dont l'album sort sur le label 4AD.

La star électro

Moby grave son premier disque, Time's Up au sein du combo The Brotherhood en 1990. Mais ce sont ses performances scéniques qui contribuent à sa renommée croissante. En 1991, sort le quatrième single, Go, un hymne techno dont la ligne de basse est un sample du thème de la série télévisée de David Lynch, Mystères à Twin Peaks. Le succès est immédiat : plus d'un million d'exemplaires vendus à ce jour.

En 1991 également, Moby remixe la chanson Chorus, un tube du groupe anglais Erasure. Son mixage de Chorus (Vegan Mix) figure uniquement sur l'édition limitée du CD-single d'Erasure Am I right ?.

Moby retombe ensuite dans un anonymat relatif et sort de nombreux singles « électro » sous son nom ou sous des pseudonymes aussi variés que Voodoo Child, Barracuda, UHF, DJ Cake, Lopez et Brainstorm/Mindstorm. Malgré ses indéniables qualités, son album « Ambient » (1993) reste inaperçu.
L'album suivant, le premier pour Elektra Records s'intitule Everything is Wrong. Sorti en 1995, il n'a guère plus de succès que le précédent, malgré un accueil favorable de la critique.
Moby enchaîne ensuite avec l’album Animal Rights en 1996, précédé du single controversé That's when I reach for my revolver. Le retour au punk rock désoriente complètement les fans qui attendent un album de musique « ambient ».
Après une nécessaire remise en question, Moby revient à l'électro avec I Like to Score, une compilation de compositions dont certaines sont reprises sur des bandes originales de films, comme le morceau atmosphérique God Moving Over the Face of the Waters, qui illustre la scène finale du film Heat de Michael Mann, ou encore une version survitaminée du thème de James Bond. Quelques années après, en 1998, sa mère décède d'un cancer.

Notons également que son plus gros titre electro fut HYMN. Une véritable démonstration artistique dont les DJs s'arrachent le vinyl à prix d'or.


La consécration mondiale


En 1999, Moby quitte Elektra Records et signe chez V2 Records. Dès le mois de juin, sort l'album Play, qui devient un succès planétaire en 2000 avec plus de 9 millions d'exemplaires vendus. C'est le premier album de l'histoire de la musique dont l'intégralité des morceaux sont sous licence commerciale.

En 2001, Moby réalise l'un de ses rêves en jouant sur scène avec son héros de jeunesse, David Bowie. Le 11 septembre, jour de son anniversaire, il assiste tétanisé aux attentats du World Trade Center, depuis le toit de son immeuble.
Quelques mois plus tard, il est aussi au centre d'une polémique avec le rappeur Eminem après avoir traité sa musique de misogyne et d'homophobe. Eminem se moque de lui dans « Without Me », affirmant notamment que « personne n'écoute de la techno ». La querelle se poursuit aux MTV Video Music Awards de 2002 bien que Moby clame haut et fort qu'il respecte les talents musicaux d'Eminem.

Le 24 février 2002, l'artiste participe à la cérémonie de clôture des Jeux Olympiques d'hiver de Salt Lake City. Le 14 mai de la même année, il publie le très attendu 18 (qui contient notamment les tubes We Are All Made of Stars, In This World et "Extreme Ways", la B.O De la Trilogie "Jason Bourne") puis se consacre à des projets plus confidentiels, comme l'album Baby Monkey qu'il sort sous le pseudonyme de Voodoo Child. Après s'être investi dans la campagne anti-Bush de 2004, Moby revient à ses claviers avec un nouvel album, Hotel sorti le 14 mars 2005.

Sur son site officiel qu'il nourrit notamment de son journal quotidien et de ses photos, Moby ne cache pas ses engagements politiques (démocrate idéaliste, il a soutenu activement John Kerry lors des présidentielles américaines de novembre 2004), religieux (il est un chrétien non-conformiste, il s'est fait tatouer une croix dans la nuque) ou en faveur des animaux (c'est un activiste vegan, il participe à de nombreuses actions et a signé la bande originale de Earthlings).
Il est également la figure emblématique de la défense de la neutralité des sociétés américaines sur Internet et fervent opposant d'une évolution d'Internet vers des services de plus en plus restreints pour les internautes les moins aisés.
Le musicien réside depuis plus de dix ans à New York à côté de chez David Bowie et a fondé avec l'une de ses amies un petit salon de thé
végétalien, TeaNy (jeu de mots sur NY, New York et les mots anglais tiny (petit) et tea (thé)), dans lequel il se rend fréquemment.

En 2006, à l'occasion de la sortie de son best of, Moby et Mylène Farmer enregistrent en duo une reprise version new wave de Slipping Away. Le titre donne lieu, sur le même album, à une version espagnole titrée Escapar, interprétée en duo avec l'artiste espagnole Amaral.

Moby fait aussi des courts passages dans des émissions de télé en France où il dit toujours ne pas savoir quoi faire de tout son argent, il vit de la même manière que les gens de son quartier et dit de lui : « Les gens ne me reconnaissent pas car je suis la plupart du temps habillé comme un clochard ».

Le 10 mars 2008, Moby sort un nouvel album, Last Night, précédé par le single Alice (14 janvier 2008). Durant l'été 2008, on le voit en DJ au Showcase à Paris ainsi qu'aux Eurockéennes de Belfort, le 6 juillet 2008.

Le 25 août 2008, Mylène Farmer sort son septième album studio, Point de suture, sur lequel elle invite Moby sur la chanson Looking for my name.




 

 
Moby, de son vrai nom Richard Melville Hall (11 septembre 1965), est un artiste de musique électronique américain. Multi-instrumentiste, Moby joue de la guitare, des claviers et de la basse.
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