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26 octobre 2009 1 26 /10 /octobre /2009 17:21

POUR LA DEMISSION DE LA PRESIDENTE SPA V. POCQ ST JEAN

URL Courte : http://5182.lapetition.be/

LA PRESIDENTE NE PEUT ASSUMER : DEMISSION ET RADIATION DE LA SPA DEMANDEES

AU DEUXIEME TOUR DES ELECTIONS DES ADMINISTRATEURS, VOTEZ POUR :

Pierre LAURENT
Frédérique SEVIN
Laurence ROCHE
Alain PIASTRA
Gerard DELAERE
Alain FABRESSE
André LEGER


LISEZ ATTENTIVEMENT LA LETTRE CI-DESSOUS ET SURTOUT FAITES SUIVRE RAPIDEMENT ET EN MASSE CETTE PETITION.
MERCI A TOUS POUR VOTRE AIDE ET VOS REACTIONS





le 3 octobre 2009
Par LRAR Et par mail Lettre ouverte

Lors de la séance du Conseil d’Administration de vendredi 25 septembre 2009, 10 administrateurs sur 18 présents ont manifesté leur désaccord total avec la communication solitaire et catastrophique que Virginie POCQ SAINT JEAN a menée depuis lundi 21 septembre, jour de la publication du rapport définitif de la Cour des Comptes.
Virginie POCQ SAINT JEAN n’a visiblement pas suivi les conseils de l’agence de communication de crise Vae Solis Corporate, qu’elle avait pourtant choisie seule, pour la somme de 36.000 euros !

Une motion de confiance a ainsi été soumise au vote du Conseil d’Administration.
Résultat : 10 administrateurs sur 18 ont clairement exprimé qu’ils ne lui accordaient plus leur confiance.

Pour une majorité d’administrateurs, les propos tenus par Virginie POCQ SAINT JEAN dans certains médias ont même été jusqu’à porter atteinte à l’honneur et à la considération de la SPA.

Ainsi, le FIGARO titrait « La Présidente enfonce le clou. »

Depuis le 13 novembre 2008, Virginie POCQ SAINT JEAN semble dépassée par la haute charge que le Conseil d’Administration lui avait confiée en la nommant Présidente de la SPA.

Ne disposant apparemment pas de l’expérience, des compétences et de la sérénité nécessaires à l’exercice de cette mission, elle n’a pas su – ou voulu - s’entourer de nouveaux salariés, de cadres supérieurs qui auraient pu apporter cette expertise qui manque cruellement à la SPA.

Cette absence d’expertise a été dénoncée par la Cour des Comptes dans son relevé d’observations provisoires de décembre 2008.

Virginie POCQ SAINT JEAN n’a pas su non plus travailler avec les administrateurs capables de mettre leur expérience au service de l’association.

Ainsi, dès les premiers jours de son mandat, en ne délégant aucun de ses pouvoirs à ses collègues, elle a malheureusement entretenu l’opacité et favorisé la rétention d’informations.

Elle a pris des décisions contraires à l’avis du Conseil et exercé un pouvoir souvent d’une façon autocratique intolérable dans notre association.

Autoritarisme qui s’est illustré dans la politique de management conduite à la SPA par Virginie POCQ SAINT JEAN.

Vous trouverez en pièce jointe une facture qui est la parfaite illustration de ses mensonges.

Lors de la séance du Conseil d’Administration du 28 mai 2009, un administrateur a demandé à Virginie POCQ SAINT JEAN de lui communiquer la liste des dossiers qu’elle avait confiés au cabinet d’avocats Ernst & Young.
Virginie POCQ SAINT JEAN a répondu : La Valmasque, la Cour des Comptes et René de Gaillande.
L’administrateur lui a demandé s’il n’y avait pas d’autres dossiers, notamment sur « M. Rivet-Martel ».
Virginie POCQ SAINT JEAN a répondu « non ».
Cette affirmation a été appuyée par Maître VIALLE, avocate, renchérissant en indiquant « les seuls et uniques dossiers traités par le cabinet étaient ceux cités » et qu’ « il n’y en a pas un seul autre. »
La facture datée du 24 février 2009 prouve le mensonge en attestant, bien au contraire, la présence d’autres dossiers à la demande exclusive de Virginie POCQ SAINT JEAN :
- Rédaction d’une clause de confidentialité des courriels SPA (Virginie POCQ SAINT JEAN ne peut-elle pas rédiger ces quelques lignes en s’inspirant de ce qui se fait ailleurs ?)
- Echanges téléphoniques et courriels sur la problématique de la vacance de la présidente
- Rédaction d’une lettre à M. Rivet-Martel, d’une note interne et courriers aux administrateurs sur la confidentialité
- Démarches pour trouver un administrateur provisoire et réunion avec Denis Facques, administrateur provisoire.
CE DERNIER POINT MERITE TOUTE NOTRE ATTENTION !

C’est tout simplement LA PREUVE que Virginie POCQ SAINT JEAN cherche depuis le début de son mandat à mettre notre association entre les mains d’un administrateur provisoire, avec toutes les incertitudes que cela soulève.
Il est tellement plus rassurant de penser et de déclarer publiquement que tout est de la faute d’une poignée d’individus alors que c’est elle-même qui n’a pas su « gouverner » alors qu’elle a disposé pendant plusieurs mois d’une large et confortable majorité au sein du Conseil d’Administration !

Les administrateurs soussignés s’autorisent à penser que c’est son incapacité à appréhender et maîtriser la multitude de dossiers de la SPA qui a poussé Virginie POCQ SAINT JEAN à envisager de donner les clés de notre association à un administrateur judiciaire.

La décision de prendre un administrateur judiciaire qui dirigerait l’Association, peut-elle émaner de la seule Présidente de l’Association ?
Pourquoi la Présidente a-t-elle caché au Conseil d’Administration sa demande de désignation d’un administrateur judiciaire ?
Pourquoi la Présidente a-t-elle menti dans les médias en indiquant qu’elle avait soumis cette proposition au Conseil d’administration et que celui-ci avait refusé ?
Pourquoi la communication depuis le 21 septembre cherche-t-elle à amplifier les propos – parfois faux - de Monsieur Philippe Seguin qui compare nos difficultés à l’affaire de l’ARC ?
Nombre de problèmes ont, d’ailleurs, déjà été réglés en interne.

Les journalistes eux-mêmes commencent à s’interroger sur les véritables motivations de Virginie POCQ SAINT JEAN et commencent à mener des investigations pour connaître les raisons qui « poussent » la Présidente actuelle de la SPA à « enfoncer le clou » et à chercher à confier la SPA à une personne étrangère à la protection animale.

Le bilan de Virginie POCQ SAINT JEAN, après un an d’exercice dans la fonction de Présidente, est le suivant :
- Immobilisme
- Licenciements répétés qui conduisent près d’un service sur deux au siège social à être sans responsable
- Un directeur général, recruté plus de 6 mois après sa prise de fonction, qui ne dispose toujours pas de délégation de pouvoirs et qui fait l’objet de critiques à peine masquées de la part de la Présidente

Virginie POCQ SAINT JEAN a décidé SEULE d’effectuer les démarches pour obtenir la désignation d’un administrateur judiciaire…
Une question se pose à nous : la SPA est-elle dans une situation qui justifie la désignation d’un administrateur judiciaire ?
Nous tenons à vous apporter quelques éléments de réponse…

1. Les critères habituellement retenus par la jurisprudence pour la désignation d’un administrateur provisoire ne sont pas réunis.

Les « caisses » de la SPA ne sont pas vides.
ien au contraire, il est reproché par la Cour des Comptes de trop grandes réserves et de trop faibles engagements (5M d’euros).
La constitution de réserves, aussi importantes soient-elles, caractérise une gestion responsable qui a le souci de faire face aux événements.
Comment reprocher à la SPA, en pleine crise économique, de « faire attention » et d’assurer notamment le paiement de ses salariés, salariés qui travaillent directement pour les animaux. On imagine difficilement qu’un administrateur puisse engager la SPA dans des dépenses importantes sans connaître précisément les besoins des animaux et la mise en oeuvre de projets qui dépasseront, en tout état de cause, la durée du mandat de l’administrateur.

Les récentes expériences de direction générale en la matière n’ont, pour le moins, pas été très convaincantes.

L’objet social de la SPA est rempli. Près de 40.000 animaux par an transitent dans les refuges de la SPA.
Ce sont des milliers d’animaux recueillis, soignés et placés qui ont bénéficié du professionnalisme des salariés et des bénévoles qui se relaient en permanence dans la mise en oeuvre de cet objet social.
Il est inacceptable que la presse parle de « conditions indignes » dans lesquelles les animaux sont accueillis dans les structures de l’association.
Ce terme de « conditions indignes » est une reprise du premier rapport de la Cour des Comptes.
Heureusement les améliorations ont eu lieu.
Encore une fois, ce n’est pas un administrateur judiciaire, sans expérience de la protection animale qui va venir améliorer les conditions d’accueil des animaux dans les refuges et dispensaires.
A l’accueil de ces 40.000 animaux, il faut ajouter les 100.000 consultations réalisées dans les 12 dispensaires de soins au profit des animaux des personnes démunies, les aides alimentaires et vétérinaires au profit d’autres associations de protection animale et de particuliers en situation financière délicate, les activités de la cellule anti-trafic et celles du service juridique, la contribution efficace des délégués-enquêteurs bénévoles et des inspecteurs salariés, les actions de saisies d’animaux victimes d’élevages clandestins ou d’importations illégales, l’activité du service Jeunes SPA à destination des enfants de 10 à 17 ans, les actions de sensibilisation auprès du grand public sur les thèmes importants de protection animale (cirques avec animaux, corrida, élevages, fourrure, abandons, maltraitance…)

Les organes délibérants fonctionnent. Il est faux de prétendre que la SPA se trouverait dans une situation de blocage dans son fonctionnement.

Même si les décisions du Conseil d’Administration de la SPA sont prises après des heures de discussion souvent vives, elles sont prises.

Le Conseil d’Administration de la SPA se réunit onze fois par an ce qui n’est pas si fréquent pour des associations de cette taille.
Les commissions mensuelles de préparation fonctionnent.
Ce fonctionnement est certes perfectible, mais aucune décision de protection animale n’est « bloquée » par les échanges internes.
Nous mettons au défi quiconque de le démontrer !
La vivacité des débats traduit bien la réalité d’un débat démocratique.

2. La Cour des Comptes pointe plusieurs difficultés qui ne justifient pas l’arrivée d’un administrateur judiciaire à la SPA.
Certains faits découverts seraient de nature à relever d’une qualification pénale.
La Cour, dans son rapport, présente ses faits comme si elles les avaient découverts elle-même.
C’est faux.
S’agissant des legs, c’est Caroline LANTY, alors Présidente de la SPA, qui les a découverts et les a portés à la connaissance des magistrats de la Cour des Comptes.
Si elle ne leur avait rien dit, rien n’aurait été découvert.
Il est consternant d’être obligé de rappeler que la Cour des Comptes avait procédé, il y a quelques années, à un rapport intermédiaire de contrôle qui s’était révélé très satisfaisant en matière de legs.

De la même façon, c’est Caroline LANTY qui, ayant connaissance, de l’engagement de la SPA par son directeur général – sans accord du Conseil d’Administration – a procédé à la mise à pied immédiate de celui-ci et à la fin de son contrat.

Dès le 30 octobre 2008, Caroline LANTY informait le Conseil d’Administration du dépôt de deux plaintes au pôle financier du Parquet de Paris concernant l’attribution préférentielle des legs ainsi que concernant les conditions de paiement des travaux du refuge de La Valmasque.

De plus, il convient de rappeler que Caroline LANTY avait également déposé deux autres plaintes visant des détournements commis par deux responsables locaux de la SPA.

Espérons que les enquêtes avancent.

La refonte des statuts n’a pas abouti.

Il convient de rappeler qu’alors que de longues séances de travail avaient été menées en 2008, dans le respect de toutes les opinions aussi divergentes fussent-elles, pour parvenir à l’élaboration d’un projet statutaire qui semblait faire le consensus, ce sont Virginie POCQ SAINT JEAN, Alda ROUMAGNOU, Henri DESCHANEL, Jean-Pierre MORENO, entre autres, qui ont quitté la salle, et ne sont tout simplement pas revenus, pour que le projet de réforme ne soit pas voté .

Virginie POCQ SAINT JEAN est donc aujourd’hui particulièrement mal fondée à se prévaloir de dysfonctionnements sur ce point alors qu’elle en est directement à l’origine.


3. L’annonce de l’arrivée d’un administrateur judiciaire : un impact fort en terme d’image pour la SPA

 Il n’existe qu’un seul précédent : celui de l’ARC.
Lors du précédent rapport de la Cour des Comptes en 2002, certains avaient voulu faire de cette publication une nouvelle affaire de l’ARC.
Chacun se souvient qu’à l’époque, quatre mises en examen étaient intervenues dont celle du Président du Conseil d’Administration de l’époque.
Pour autant, malgré plusieurs procès intentés pour faire nommer un administrateur judiciaire, le Tribunal de Grande Instance avait rejeté ces demandes de nomination sur la base des critères ci-dessus exposés.

 L’arrivée d’un administrateur judiciaire ne pourrait, dans l’esprit de l’opinion publique et dans celles des auteurs de legs, que permettre un amalgame avec l’existence de faits délictueux et compromettre la pérennité de 70% des ressources de l’association.

L’arrivée d’un administrateur judiciaire coûtera nécessairement beaucoup d’argent, il faut l’avoir présent à l’esprit, à la SPA, l’administrateur n’intervenant qu’accompagné d’une équipe qu’il conviendra de rémunérer.

4. Un constat : La Présidente en exercice du Conseil d’Administration de la SPA reconnaît qu’elle est dans l’incapacité de « gouverner » l’association.

Pour la première fois, une Présidente en exercice reconnaît qu’elle peine à assumer la gouvernance du Conseil d’Administration.

Les faiblesses de la Direction ne doivent pas mettre en péril l’Association et elles ne justifient aucunement de la prétendue nécessité de placer l’association sous administration judiciaire.

Il n’est pas acceptable que la Présidente en exercice s’autorise à déclarer dans la presse qu’il faut que « la SPA se prenne une bonne claque, qu’il faut tout casser pour recommencer. »

Il n’est pas acceptable que la Présidente en exercice n’ait pas réuni un Conseil d’Administration extraordinaire pour annoncer à ses collègues administrateurs la teneur du rapport de la Cour des Comptes ni envisagé de déterminer avec ses collègues quelles mesures il était urgent de prendre pour défendre l’image de la SPA.

Il n’est pas acceptable qu’elle ait licencié le responsable du service communication en le mettant à pied le jour même de la publication du rapport de la Cour des Comptes pour assurer seule une communication « destructrice » qui n’a pas été validée en Conseil d’Administration.

Il n’est pas acceptable que, pour reprendre l’expression du FIGARO du 22 septembre, la Présidente de la SPA « enfonce le clou »…contre la SPA.

 Il n’est pas acceptable que la Présidente en exercice diffame publiquement l’association en portant « atteinte à son honneur et à sa considération » dans la presse alors qu’elle a comme premier devoir de la défendre.

La sincérité d’un engagement ne souffre ni l’incompétence ni l’irresponsabilité.

Or Virginie POCQ SAINT JEAN reconnaît qu’elle est dans l’impossibilité de diriger l’Association.

Nous lui demandons instamment de cesser de se répandre dans la presse en déclarations dénigrantes pour l’Institution.

Et en effet, la situation est inédite : jamais la SPA n’a vu son Président porter ainsi atteinte à l’image de son Institution.
Il semble que la présidente en exercice ait décidé de pratiquer la politique de la terre brûlée à la SPA et qu’elle ait entendu tout détruire en pensant pouvoir tout reconstruire.

Il faut voir, dans cette attitude, l’expression d’un orgueil sans limite qui ne respecte pas les personnes qui « sont » la SPA, les salariés et les bénévoles qui soignent et sauvent quotidiennement et avec un rare dévouement, les animaux abandonnés, maltraités ou faisant l’objet d’ ignobles trafics.

La SPA est d’ores et déjà dans une situation dont elle mettra longtemps à se remettre.

Il n’est pas question, ici, de nier les difficultés que connaît la SPA.

Ces dysfonctionnements, dont les racines sont profondes, auraient pu être corrigés ;
il eût fallu, pour cela, s’entourer de professionnels qualifiés en prenant conseil auprès des autorités de tutelle, et en effectuant ces redressements et ces améliorations dans un climat serein d’écoute et de préconisations.

Au lieu de cela, Virginie POCQ SAINT JEAN a cru devoir agir « seule » (enfin, pas tout à fait…), en méprisant ouvertement celles et ceux qui s’investissent honnêtement en faveur de la SPA et des animaux dont ils ont la responsabilité.

Nous avons voulu, par cette lettre, apporter une image plus objective de la situation dans laquelle se trouve, aujourd’hui, la Société Protectrice des Animaux.

Cette prise de position nous a paru nécessaire.

Voilà qui est fait.

Avec nos salutations associatives.

Les administrateurs soussignés,
Sylvain BIDAULT Ancien Secrétaire Général
Alain PIASTRA Président de la Commission des finances
Corinne HANAK Administrateur National
Edith SILVE Présidente de la Commission de communication
Caroline LANTY Ancienne Présidente Nationale / Présidente de la Commission des Jeunes
Chantal VIOLEAU Présidente du Bureau Electoral / Administrateur National
Michèle MORAND Présidente de la Commission juridique, des dons et des legs
Maryse TOUCHARD Administrateur National
Jacqueline FAUCHER Ancienne Présidente Nationale
Mady VASSEUR Administrateur National
Pierre LAURENT Président de la Commission de protection

Signer la pétition / De petitie ondertekenen.
http://www.lapetition.be/sign_petition.php?petid=5182
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commentaires

J
<br /> rep stp<br /> <br /> <br />
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L
<br /> Contacte moi directement sur mon mail stp<br /> labrajack7@hotmail.com<br /> Si tu est sur mon blog regarde dans les liens sur le coté tu va sur collectif c4, sinon tu va sur le site mollosse lover's.<br /> @ bientot.<br /> <br /> <br />
J
<br /> oui sa minteresse mé jai pa les moyens de lacheter jve un a adopter<br /> <br /> <br />
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