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6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 16:08

LE PLUS. Quand votre chat fouette sa queue, c'est pour signaler sa colère extrême.

À l'inverse, un chien qui agite sa queue montre sa joie.

Mais savez-vous pourquoi ?

Vous flairez quelque chose ?

Vous êtes sur la bonne piste.


http://www.frontline.fr/Actualites/Comportement/PublishingImages/illu_actu_promenade_en_liberte_chiot.jpg

 

 

Le chien est un animal hyper social et très communicant.

 

Comme quelqu’un qui parle avec les mains, en plus de ses aboiements, le chien ponctue sa gestuelle….  avec sa queue.

 http://www.1jour1pub.com/wp-content/uploads/2011/01/Purina-chien.jpg

 

- Quand il rencontre un de ses congénères, s’il baisse les oreilles et rentre la queue entre les jambes, c’est qu’il a peur et se soumet ;

- Si sa queue se dresse, ce peut être signe d’agressivité ;

- S’il a fait une bêtise, sa queue remue de façon saccadée et inquiète ;

- Quand tout va très bien, sa queue fait des mouvements amples.

 

Face à l’homme, il surjoue, parce que nous ne comprenons pas son langage : le chien en rajoute donc inconsciemment.

 

Son comportement est exacerbé ; les loups, ancêtres du chien, n’aboient pas et ne donnent guère de grands coups de queue.

 

En revanche, entre chien et loup (son ancêtre sauvage), il y a un point commun : leur formidable olfaction.

 

Avec ses glandes anales, il peut (comme la moufette, mais heureusement plus modestement) émettre des odeurs, perçues comme signal de reconnaissance et de communication.

 

Sa queue lui sert alors de paravent.

 

Ainsi, quand vous rentrez chez vous et que votre chien remue la queue, qu’il vous fait la fête, c’est également pour répandre son odeur !

 

L’homme est un "défavorisé" du nez par rapport à nombre d’animaux…

 

On ne peut, dans le cas présent, que s’en féliciter.

 

Si les meutes de loups se suivent à la queue leu leu, ce n’est pas un hasard.

 

Le visuel de l’arrière-train du précédent de la file, qui indique certains comportements (alerte ou fuite…), et l’odeur qui part des glandes anales sont un signe de ralliement, un moyen de communication.

 

http://www.levriers77.org/images/gang0901_03.jpg

 

C’est l’une des raisons pour lesquelles, en tant que vétérinaire, je déconseille fortement de couper la queue (tout comme les oreilles) d’un animal.

 

Au-delà de la souffrance inutile pour de simples considérations esthétiques, cela nuit à l’animal d’un point de vue comportemental, en l’empêchant d’avoir une communication gestuelle suffisante.

 

NB : la France a ratifié la convention européenne pour la protection des animaux de compagnie, mais elle a émis des réserves pour la caudectomie, qui reste donc toujours autorisée.

 

 Lire également :

http://labrajack.over-blog.com/article-32772377.html

 

 Par Vétérinaire

Propos recueillis par Daphnée Leportois


http://leplus.nouvelobs.com/contribution/216188-pourquoi-les-chiens-remuent-la-queue.html

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6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 15:57

 

   
Alaska: des phoques morts irradiés par Fukushima ?

Après 7.000 km de dérive, les premiers débris du tsunami survenu l'an dernier au Japon viennent tout juste d'atteindre les côtes américaines.

La catastrophe de Fukushima n'a pas fini de faire parler d'elle.

En Alaska, des phoques échoués auraient été victimes de la contamination radioactive des eaux du Pacifique.

Environ dix mois après le violent séisme et le tsunami au Japon, les conséquences de la catastrophe sont visibles de l’autre côté de l’océan.

 

En Alaska, des dizaines de phoques ont été retrouvés morts échoués sur la plage avec des blessures jamais vues.

 

Ces mammifères avaient la peau irritée autour des yeux et ils ont perdu leur fourrure par plaques.

 

Dans un premier temps, des scientifiques ont cherché un virus responsable, mais ils n’en ont pas décelé.

 

Ils se demandent si ces phoques n’auraient pas plutôt été irradiés.

 

A présent, ces chercheurs attendent les résultats d’analyses avant de se prononcer.

 

Des doses hautement radioactives rejetées dans l'océan   

Cependant, ils redoutent d’ores et déjà une contamination de la chaîne alimentaire dans le Pacifique car, pendant trois mois après la catastrophe, les Japonais ont rejeté dans l’océan l’eau radioactive qui servait à refroidir les réacteurs endommagés.

 

Les doses ont été 7 millions de fois supérieures à ce qui est tolérable.

 

Cette radioactivité a fini par se diluer, mais auparavant elle a été consommée par le plancton, les poissons et ensuite les phoques.

 

Plus de 20 millions de tonnes de débris dans la mer

On n’a donc pas fini de découvrir les conséquences de Fukushima et du tsunami avec les premiers déchets qui sont arrivés sur les côtes américaines. 

 

Plus de 20 millions de tonnes de débris, des bouts de bateaux ou de maisons, se sont retrouvés dans la mer.

 

Certains ont directement coulé, mais d’autres sont en train de traverser l’océan portés par les courants.

 

Dans l’état de Washington, on a ainsi découvert des bouteilles et des bouées avec des inscriptions en japonais.

 

Et d’autres débris risquent encore d’échouer sur les plages américaines.

 

Le gros des débris est attendu en 2013.


http://www.rtl.be/info/monde/international/848436/alaska-des-phoques-irradies-par-fukushima-retrouves-morts-

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 17:49

3-copie-2.jpg

 

Une étude à large échelle montre qu’autoriser son chat à pénétrer dans la chambre augmente les risques de développer une allergie.

 

Cela est d’autant plus vrai si l’on n’a jamais eu de félin pendant son enfance ou que l’on présente un terrain allergique favorable.

  • Tout savoir sur les allergies grâce à notre dossier complet

Réfléchissez-y à deux fois.

 

Si la compagnie d’un félin peut s’avérer enrichissante, parfois les chats nous jouent malgré eux des mauvais tours.

 

Leurs squames (peau morte) revêtent un caractère allergène qui ne laisse pas tout le monde indifférent.

 

Certains propriétaires de chatons doivent se séparer de leur animal pour s’éviter des symptômes trop désagréables.


On ne peut prédire à l’avance si l'allergie se déclarera ou non, mais il existe tout de même quelques pistes qui permettent d’évaluer les risques.

 

Par exemple, une étude à large échelle menée entre 1991 et 1993 démontrait que 14.138 asthmatiques sur les 18.536 participants (soit 76 %) présentaient des immunoglobulines E (IgE) spécifiques au chat, c’est-à-dire des anticorps à l’origine des inflammations allergiques.

 

Si le lien de cause à effet n’est pas systématique, une telle proportion est révélatrice d'une forte tendance à développer les symptômes.


Désormais, grâce à une étude publiée dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology et dirigée par des chercheurs de l’université de Vérone (Italie), de nouveaux facteurs de risques sont désormais connus.

 

Une étude à l’échelle européenne

Cette fois, si l’échantillon était un peu moins conséquent, il comprenait tout de même 6.292 participants âgés de 20 à 44 ans, issus de l’Europe entière, tous négatifs à l’IgE spécifique aux squames de chat lors d’une première analyse de sang.

 

Le but était de réitérer le test environ 9 ans plus tard pour vérifier chez qui ces données hématologiques avaient évolué et qui présentaient alors les IgE à une concentration élevée.

L'éternuement est l'une des manifestations de l'allergie. Il consiste à se débarrasser d'impuretés dans les voies respiratoires.
L'éternuement est l'une des manifestations de l'allergie.
Il consiste à se débarrasser d'impuretés dans les voies respiratoires.
© James Gathany/Domaine public

Parmi ces milliers de cobayes, 4.468 n’ont pas eu de chat entre les deux contrôles, 473 en avaient un uniquement lors du premier test, 651 ont acquis un félin entre les prises de sang, et 700 en possédaient un lors des deux tests.

 

Était aussi prise en compte la possibilité pour les chats d'atteindre la chambre à coucher, parmi d’autres données.


Pas de chat dans la chambre, pas d’allergie

Lors de la seconde prise de sang, 231 sujets (3,7 %) étaient devenus allergiques aux chats. À l’analyse de tous les paramètres, les chercheurs ont fait le constat suivant :

  • ceux qui ont acquis un chat entre les deux phases ont environ deux fois plus de risques de développer une allergie ;
  • ceux qui étaient déjà allergiques à d’autres substances s’exposent plus à manifester les symptômes allergiques ;
  • ceux présentant de l’asthme ou de l’eczéma déclenchent plus facilement une allergie ;
  • ceux qui ont eu un chat durant leur enfance étaient en revanche plus facilement à l’abri.

Un autre constat s’est alors imposé.

 

Parmi les personnes n’ayant pas autorisé leur chat à pénétrer dans la chambre à coucher, aucune n’est devenue allergique.

 

« Le mieux à faire, commente Andy Nish, l’un des auteurs de l’étude, est de laisser le chat à l’extérieur. S’il rentre, ses squames vont rester dans la maison des mois durant. S’il doit malgré tout se réchauffer à l’intérieur, ne le laissez pas pénétrer dans la chambre et lavez-le une fois par semaine. »

 

Vu l’affection des chats pour l’eau, ce genre de conseil ne fera pas que des heureux...


Par Janlou Chaput, Futura-Sciences

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/medecine/d/allergies-ne-laissez-pas-votre-chat-rentrer-dans-la-chambre_35622/

 

http://www.beaute-femme.org/news/images/Animaux/jardin-des-chats/lit1.jpg

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 17:40

 

par emmy 

Comment reconnaitre les différentes attitudes de son chat ?
Le chat, pour exprimer ses émotions et son humeur, ne peut pas parler.
Il va donc, comme tous les animaux, prendre des postures et des attitudes qui lui sont propres, et que nous autres, humains et maîtres ce cet animal, ne savons pas toujours décrypter.

Voici donc les principales, qui vous aideront à comprendre ce que votre chat ressent et veut dire.

 

Étapes de réalisation


1
Lorsque le chat, complètement tendu, souffle, et montre les dents, il indique qu'en cas d'attaque, il est à la fois prêt à se défendre, mais qu'il est également prêt à battre en retraite si la situation l'impose, dans le but d'éviter une bagarre.
C'est la raison pour laquelle on voit souvent le chat soufflant partir en sens inverse en courant. C'est une attitude que l'on appelle posture défensive.

2
Lorsque le chat a peur, il se blottit dans un coin, les oreilles rabattues et les pupilles complètement dilatées. Il se tapit, sa queue est plaquée le long de son corps, et il montre à avec cette attitude qu'il est prêt à se soumettre.
En effet, cette posture ne luis permet que de se défendre ou de se soumettre, mais pas d'attaquer.

3
Lorsque le chat veut paraître agressif et faire peur, il tente de paraître plus gros qu'il ne l'est en réalité.
Il fait alors ce que l'on appelle couramment le "dos rond".
Sa queue est relevée au niveau de ses jarrets, ses oreilles sont dressées, et pointent vers l'extérieur, ses moustaches sont elles aussi dirigées vers l'avant, et tous ses poils se hérissent sur son corps.
Dans cette attitude, les griffes du chat sont sorties, prêtes à attaquer.

4
Enfin, pour exprimer la frayeur, le chat prend la même posture qu'en tension défensive, à la différence que le soufflement lui permet de produire de la salive, et qu'il la crache, le dos courbé, le poil hérissé et les oreilles aplaties vers l'arrière.
Le chat, de cette manière, exprime autant l'agressivité que la peur, et c'est dans cette situation qu'il est le plus impressionnant.
Il peut effectivement décider d'attaquer, si l'adversaire franchit ce qu'il a déterminé comme étant son périmètre de sécurité.
5
Vous voilà prêt à mieux comprendre ce que votre chat exprime dans ses attitudes : vous saurez maintenant si vous devez vous y frotter... ou non !


01
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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 16:16

 

Un cavalier, sur la route du Dakar, le 14 janvier 2010 entre San Juan et San Rafael, en Argentine.

Un cavalier, sur la route du Dakar, le 14 janvier 2010 entre San Juan et San Rafael, en Argentine.  

Natacha Pisarenko/AP/SIPA

RALLYE-RAID - La course et la faune ne font pas toujours bon ménage...

Depuis trois jours, David Casteu a du mal à se reconnaître quand il jette un coup d’œil dans la glace.

 

Avec sa pommette gonflée et sa lèvre supérieure boursoufflée, le motard français se remet lentement d’une piqûre d’insecte, a priori, une guêpe.

 

Peut-être «une autre bestiole d’ici parce que la piqûre est extrêmement violente. On pense peut-être à un frelon.»

 

Pendant le Dakar, les animaux n’aiment pas vraiment que les pilotes s’invitent sur leur territoire.

 

Le Français Bruno Da Costa en a fait l’expérience, lundi, lors de la spéciale entre Santa Rosa de la Pampa et San Rafael.

 

Alors qu’il roulait à vive allure, il a percuté une vache.

 

Contraint d’abandonner, le pilote Yamaha est toujours hospitalisé à l’hôpital de Mendoza, pour une hémorragie rénale.

 

Il devrait être opéré dans les jours à venir.

 

La vache, elle est morte sur le coup.


«Elle faisait au moins 600kg glisse un témoin, passé sur le lieu de l’accident quelque minutes après. Si elle n’était pas morte tout de suite, on aurait dit que le soleil l’avait fait gonfler.»


«Comme un plomb de carabine dans la tête»

Au même titre que les spectateurs ou la température, la problématique de la faune locale est à prendre très au sérieux par les pilotes.

 

Le fantasme du scorpion dans les bottes au petit matin est resté en Afrique.

 

Depuis qu’il s’est exilé au pays de Fangio, le rallye côtoie des bêtes moins exotiques, mais plus présentes sur les pistes.

 

Et la menace est toujours imprévisible.

 

«Qu’est ce qu’un piège quand on ne passe qu’une fois à un endroit?

 

Sur notre moto, c’est marqué au stylo noir sur du papier blanc et dans la réalité, il y a tout autre chose», souffle Cyril Desprès.


Des bovins, donc, mais aussi des chiens, des vaches ou des chevaux.

 

Avant d’être piqué au visage, David Casteu avait percuté une chèvre il y a deux ans.

 

Cela avait précipité son abandon.

 

Mais l’ennemi numéro 1 du motard reste l’insecte.

 

Sur le rallye, les pilotes roulent sans visière.

 

Juste avec un casque ouvert et un masque.

 

«De temps en temps, tu prends une mouche entre tes lunettes et la ligne du casque. Il y a un centimètre d’écart, indique Christophe Geoffroy, un pilote amateur. Ça te fait l’effet d’avoir ramassé un plomb de carabine dans la tête.»

 

Protection renforcée

A 170km/h, impossible d’éviter l’obstacle, surtout dans la poussière.

 

En revanche, certains pensent à renforcer leur protection face aux bestiaux.

 

«Il va falloir qu’en rentrant je règle ce problème. Il faut que je calfeutre bien mon casque, s’agace Casteu. On voit trop mon visage à travers.»

 

Mais d’après les médecins, la piqûre était si violente que même une protection plus importante n’aurait pas suffi.

 

Sur ses terres, l’insecte argentin fait toujours mouche.


Romain Scotto à San Juan (Argentine)
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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 16:03
730 lémuriens, espèce protégée, qui ont proliféré et sont devenus "indésirables" à Mayotte,
sont menacés d'euthanasie,
a alerté jeudi la Fondation Brigitte Bardot dans un communiqué.
( © AFP Sebastien Bozon)

 

730 lémuriens, espèce protégée, qui ont proliféré et sont devenus "indésirables" à Mayotte, sont menacés d'euthanasie, a alerté jeudi la Fondation Brigitte Bardot dans un communiqué.


L'association de protection des animaux "en appelle aux autorités pour adopter une solution alternative raisonnable +contraceptions, stérilisations+ et propose son aide afin d'éviter un massacre inacceptable".


Selon la FBB, le sort des 730 lémuriens devait se jouer ce jeudi, lors d'une commission CNPN (Conseil national de protection de la nature).


"Un rapport commandité par le gouvernement évoque leur possible euthanasie en ces termes: agir discrètement et rapidement pour ne pas alerter le grand public, déclasser, sur la réserve naturelle, cette espèces menacée et protégée pour pouvoir les exterminer", indique le communiqué.


Depuis de nombreuses années, une association locale tente de préserver les lémuriens de Mayotte. Mais, par manque de moyens et de conseils, les animaux sont devenus indésirables, selon la FBB.


"Les lémuriens sont des animaux inoffensifs qui se nourrissent de fruits et de feuillages. Ils se sont malheureusement trop reproduits sur un îlot de 84 hectares, désormais classé réserve naturelle", a expliqué de son côté à l'AFP Valérie Terrazzonie, chargée de mission à la FBB.

 

"Il faudrait en transférer une partie, en laisser 200 et de toute façon faire un sanctuaire pour ces animaux qui sont maltraités par les agriculteurs", a-t-elle estimé.


La FBB rappelle qu'en 10 ans, la population de lémuriens est passée de 45.000 à 18.000 sur l'île principale de "Grande Terre".


http://www.liberation.fr/depeches/01012381515-plus-de-700-lemuriens-indesirables-dans-le-couloir-de-la-mort-a-mayotte

 

http://cd.img.v4.skyrock.net/cd7/bienvenuechezleschtis/pics/2878057458_small_1.jpg

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 15:52

 

Une nouvelle piste vient d'être avancée pour expliquer le phénomène inquiétant de la disparition de colonies d'abeilles.

Un parasite de mouche transformerait ces insectes en "zombies".

 
 
Une abeille en train de butiner.

Une abeille en train de butiner. Photo : Kaktuslampan/Flickr.com

C'est un phénomène inquiétant auquel des chercheurs américains viennent d'apporter de nouveaux éléments d'explication : la disparition massive d'abeilles ou "colony collapse disorder (CCD)" en anglais.

 

Mis en évidence en 2006, ce phénomène est un sujet de préoccupation important pour les apiculteurs et les scientifiques, notamment aux Etats-Unis, où plus d'1,5 million de colonies ont disparu.


Les abeilles jouent un rôle déterminant dans la pollinisation nécessaire aux trois quarts des cultures réalisées dans le monde.

 

Sans abeille, on peut imaginer que des cultures de fruits, de légumes ou encore de céréales disparaissent.

 

Aux Etats-Unis, on estime que les productions dépendantes des abeilles représentent 15 milliards de dollars de ventes par an.


Les scientifiques américains, qui viennent de publier leur conclusions dans la revue spécialisée en médecine et biologie PloS ONE, ont détecté un parasite de mouche susceptible d'être à l'origine de cette hécatombe.

 

Selon John Hafernik, professeur de biologie à l'Université d'Etat de San Francisco et coauteur de la publication, ce parasite de la mouche Apocephalus borealis n'a été trouvé que chez des abeilles domestiques en Californie et dans le Dakota du Sud.


Ces chercheurs ont démontré que les abeilles infectées par ce parasite quittaient leurs ruches pour se rassembler près de sources de lumière.

 

"Nous avons observé que les abeilles infectées tournaient en rond, sans aucun sens de l'orientation", précise Andrew Core, le responsable de l'étude.

 

Autre particularité liée à ce parasite, les abeilles touchées semblent se comporter comme "des zombies", souligne Andrew Core.

 

"Elles ne peuvent pas tenir sur leurs pattes qu'elles ne cessent d'étendre pour les dégourdir avant de tomber", précise-t-il.


Plusieurs pistes ont déjà été avancées pour expliquer le phénomène de CDD, telles que les pesticides, certains OGM, la pollution, l'émergence d'espèces comme le frelon asiatique ou encore le virus DWV, qui provoque des déformations des ailes et le champignon Nosema ceranae, susceptible de provoquer des infections.

 

Ces deux derniers suspects ayant été identifiés par l'équipe d'Andrew Core dans les ruches infectées par le parasite de la mouche Apocephalus borealis.

 

La cause de la disparition des colonies d'abeilles pourrait ainsi se trouver dans la conjonction de différents facteurs.


http://www.metrofrance.com/info/les-abeilles-disparues-transformees-en-zombies/mlad!CFx6oHpHBcAcE/

 

http://www.ecosociosystemes.fr/abeille.jpg

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 15:39

 

 

Zoé1

La petite Tania a été trouvée errante, très gentille, demande beaucoup de calins et le contact humain elle a environ dix ans ! Sauvée de l'euthanasie,
Elle se fait opérer ce matin d'une grosse Tumeur.
Nous avons besoin de vous pour payer les frais vétérinaires de son opèration, Même un tout petit Don,
Nous vous remercions pour Tania.
06 62 31 70 99
Paypal : assouncombatpourvivre@live.fr

 

http://uncombatpourvivre.forum-pro.fr/

 

 

 

Zoe-2.jpg

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 15:24

Avoir un chien en ville,

 

Ce n'est pas parce qu'on vit en ville qu'on doit renoncer au bonheur d'avoir un chien.

Cependant, il faudra faire tout son possible pour accueillir son compagnon dans les meilleures conditions pour le rendre heureux!

 

Vivre avec son chien en ville n'est pas toujours évident.

 

Si vous êtes en appartement le sortir va impliquer de descendre toute une flopée d'escaliers, d'attendre l'ascenseur car il ne suffit pas simplement d'ouvrir la porte du jardin.


Il y a nombreuses choses auxquelles il faut penser et tenir compte avant de prendre un chien en ville.

 

Commençons par quelques avantages, en une semaine il aura rencontré en ville plus de gens, d'enfants, d'autres chiens, qu'un autre chien en campagne n'en aura rencontré en plusieurs mois; c'est excellent pour sa sociabilisation.

 

Également, un chien en ville apprendra à être moins craintif vis à vis de certains bruits que le chien à la campagne, où les bruits sont plutôt récurrents (les vaches qui beuglent, le chien du voisin qui aboie, le tracteur qui passe, etc).

 

En ville il sera confronté aux sirènes de pompiers ou de police, aux pots d'échappements bruyants des mobylettes, aux personnes bruyantes sortant de boite de nuit.

 

Voilà beaucoup de choses auxquelles le chien de la ville sera habitué ou du moins, devra s'habituer.

 

S'il montre des signes de peur vis à vis de certaines choses de la vie courante en ville, il sera sage de lui faire prendre des cours d'éducation, où il aura à disposition multiples exercices différents pour l'aider à s'habituer.

 

N'hésitez pas à consulter notre annuaire éducateur, si vous chercher un professionnel à proximité de chez vous Annuaire éducateur canin

 

En effet, pour que ce soit plus agréable à la fois pour vous et pour votre chien, la sociabilisation sera cruciale.

 

Vous pourrez ainsi l'emmener plus facilement avec vous dans les restaurants qui acceptent les chiens, vous pourrez l'emmener en bus, en train.

 

Quel que soit votre moyen de transport urbain, veillez à ce que votre chien y soit habitué.

 

Gardez à l'esprit que vous devrez peut être prendre le taxi en urgence pour vous rendez chez votre vétérinaire, ou simplement le bus pour le promener au parc..

 

Certains types de transports n'autorisent pas les chiens (notamment certains métros, bus) (à l'exception des chiens guides d'aveugles) et la majorité des transports en commun exigent une muselière, ce qui pourra aussi vous être demandé dans certains lieux publics.


 

Photo par Funiacs.com

 

Les chiens ne sont pas acceptés sur le réseau RATP, à moins qu'ils voyagent dans une cage de transport, ni dans les métros et bus Transpole sur le réseau lillois.


Pour voyager avec votre chien dans le R.E.R, vous devrez le museler et le tenir en laisse.


Un ticket à tarif réduit pour votre chien vous sera demandé dans certains transports en commun.


 

Promener son chien en ville signifie toujours l'avoir en laisse.

 

Laisser votre chien gambader plusieurs mètres devant vous est un risque que vous prenez pour vous et pour lui.

 

Vous encourrez une amende et votre chien risque de se faire renverser par une voiture.

 

Certaines races s'accommodent bien au milieu urbain mais toutes ne sont pas adaptée pour vivre en ville.

 

Les chiens sportifs comme le Setter Anglais, le Husky Sibérien auront besoin de tellement d'exercice que vous pourrez difficilement suivre la cadence.

 

Également les chiens de grande taille, qui auront besoin d'espace s'adapteront difficilement en appartement.

 

Il est préférable que vous optiez pour un chien calme, qui aboie peu pour que vous continuiez à garder des bonnes relations avec votre voisinage!


Le Basenji est un des « meilleurs » chiens pour vivre en appartement, il est très propre et s'obstine à le rester mais surtout, il n'aboie pas.

 

On rencontre souvent en ville des Cocker Anglais, Yorkshire Terrier, Westie, Pinscher nain qui sont des petites races qui s'adaptent bien au milieu urbain, quelques sorties quotidiennes leur suffisent.

 

Certaines races de taille moyenne à grande comme le Boxer, le Colley, le Doberman Pinscher peuvent également bien s'adapter en ville si vous leur procurez de l'exercice,

 

Qu'importe la race, il faudra s'assurer de lui procurer suffisamment d'exercice pour qu'il puisse se dépenser, les sorties très régulières sont indispensables.

 

Sortez votre chien le matin, le midi, l'après-midi, le soir.

 

N'oubliez pas votre sac pour ramasser ses excréments, beaucoup de villes proposent des bornes de sacs dont vous pouvez disposez gratuitement.


http://www.lebonchien.fr/actualites/avoir-un-chien-en-ville.html

 

http://www.foiralle.com/Blog/Chien/Impressions/bonn-chiens-promenade91.jpg

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 15:17

http://1.bp.blogspot.com/-g0kMPsYIbUc/Tubwr549BJI/AAAAAAAAE6g/euDvefhTXck/s1600/164130_extralarge.jpg

 

Dans son projet  Elderly Animals, la photographe Isa Leshko a photographié une dizaine de vieux animaux et révèle leur beauté à travers les clichés.


Les animaux d'un certain âge sont devenus les stars de la photographe Isa Leshko.

 

Dans le documentaire Elderly Animals, la photographe explique les raisons de son attachement à ces animaux.

 

A 13 ans, le mouton Phyllis par exemple peut se réjouir d'avoir eu une longue vie.


http://4.bp.blogspot.com/-l4gj0GkW-Pg/TaSOkqJ4AsI/AAAAAAAAJ1U/ktWapZs8tK4/s320/LESHKO_09.jpg

 

Elle va au fond de leur regard et explore ce qu'ils dégagent à travers leurs traits physiques.

 

Ces animaux témoignent d'un long vécu et d'une endurance impressionnante.

 

Le reportage réalisé par Walley Films est le prolongement des images capturées par Isa Leshko.

 

En effet, cette vidéo permet de comprendre ce qui relie ces bêtes à la photographe.


Isa Leshko raconte sa passion et sa détermination à prendre en photo des animaux qui, comme beaucoup le pensent, ont entièrement perdu de leur éclat, de leur jeunesse.

 

Pour cette photographe au contraire, les animaux témoignent eux aussi d'un vécu qui mérite qu'on s'y arrête.

 

Elle ne cache pas sa fascination pour ces animaux, toutes espèces et tout âge confondus, qui arrivent au stade de la vieillesse.

 

Le regard qu'elle porte sur eux lui permet de capturer ce qu'il y a de plus vivant et de plus beau chez ces animaux.


Pour voir le travail d'Isa Leshko

 

 

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