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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 17:02
Même le bourgmestre la soutient (M-C.G.)

La saisie d’animaux s’est poursuivie hier à Ombret. Après avoir emporté, la veille, une soixantaine de chats, des rats et même un serpent, la Société Protectrice des Animaux est repartie ce vendredi avec une dizaine de rongeurs, des ratons laveurs et des coatis (rongeurs d’Amérique du Sud).

 

La propriétaire est désespérée. “ Vous m’enlevez ma vie ”, a-t-elle lancé.

 

À l’âge de 40 ans, sans mari et sans enfants, elle avait décidé de consacrer sa vie aux animaux. Jamais de restaurant, jamais de vacances.

 

Des nuits blanches à veiller sur les bêtes malades.

 

Tout son salaire de médecin englouti dans l’entretien des cages, le soin et la nourriture de centaines de bêtes.


Jeudi, son rêve s’est brisé. “Toute ma vie était là. Je n’ai plus rien ”, sanglote cette habitante d’Ombret.


Toute une ménagerie qu’elle avait recueillie depuis 2002, année où elle s’était installée à Ombret (Amay) avec l’intention d’ouvrir, à terme, un refuge.

 

Il ne me reste que mes chiens ”. Une centaine, dit-on.

 

Quelques chevaux, quelques ânes et des lamas ”, énumère-t-elle en passant un mouchoir sur ses yeux en pleurs.


Les bêtes qui sont parties ne reviendront pas.

 

Elle le sait. Ses petits “ loulous ”, comme elle les appelle affectueusement, ont été disséminés dans les différents refuges de la région, et même de Flandre.


“ Je le reconnais, je me suis laissée dépasser. J’ai été hospitalisée pendant un mois. J’avais confié le soin de mes animaux à des personnes qui n’ont pas fait ce qu’elle devait faire ”, se défend-t-elle.

 

Ce n’est pas le manque de propreté que lui reproche l’inspection du bien-être animal, ni même le manque de soins, mais le nombre impressionnant d’animaux hébergés chez elle.

 

Plusieurs centaines, si on compte les lapins et tous les rongeurs.

 

Beaucoup trop pour l’espace dont elle dispose.

 

Et pourtant, la propriété est vaste.


Originaire de Liège, elle s’était rapidement fait un nom à Ombret.

 

Les gens savaient qu’ils pouvaient lui confier sans crainte leur animal.

 

Combien de fois n’a-t-elle pas retrouvé le matin, en se levant, un chien attaché à sa grille?

 

Tous les jours, assure-t-elle, on l’appelle pour un vieux chien ou un vieux chat d’un parent défunt.


Le témoignage complet de cette habitante d’Ombret est à découvrir dans notre édition La Meuse Huy-Waremme de ce week-end.

 

Marie-Claire gillet

Publié le Samedi 5 Mai 2012

http://www.lameuse.be/408937/article/regions/huy-waremme/2012-05-05/100-chiens-60-chats-et-des-rats-saisis-ses-animaux-c%E2%80%99est-toute-sa-vie

 

A lire aussi:

100 chiens, 60 chats et des rats saisis: les animaux étaient entassés dans la maison d’un médecin

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 16:49

Un chat sud-africain a survécu sans dommage à un passage à la machine à laver de deux heures à Johannesburg, a rapporté vendredi le quotidien The Star.

Un chat survit à son passage à la machine à laver

 

Ayant mis son linge dans la machine à laver, Karin Bennett, 63 ans, a cherché en vain chez elle et chez la voisine sa petite chatte noire, Tabitha.


Entendant des miaulements répétés, elle a enfin vu le minet à travers le hublot de la machine, qui tournait depuis 1 heure 45.


Après avoir coupé l'électricité et s'être battue avec la porte de la machine qui refusait de s'ouvrir, cette habitante de Johannesburg a amené l'animal chez le vétérinaire.


Lavée et rincée --mais pas essorée--, la chatte Tabitha souffrait d'hypothermie et avait de l'eau dans les poumons.

 

Mais elle a pu rentrer chez elle cinq heures plus tard, selon The Star.


"Le vétérinaire m'a dit qu'elle avait perdu sept de ses neuf vies !", a raconté Mme Bennett au journal.


Selon Karin Bennett, Tabitha a survécu parce qu'elle ne fait plus sa lessive qu'à l'eau froide pour faire des économies.

 

Après avoir ostensiblement fait part de sa mauvaise humeur, la chatte noire semble avoir rapidement oublié sa mésaventure, et se cache à nouveau dans les endroits les plus incongrus, selon sa maîtresse.

 

04/05/2012

http://actu.orange.fr/insolite/un-chat-sud-africain-survit-a-un-passage-a-la-machine-a-laver-afp_589938.html

 

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 15:49

C'est samedi dernier en Italie.

Des militants de la cause animale ont manifesté et procédé à l'extraction des chiots élevés par "Green Hill", une entreprise qui pourvoie des animaux aux laboratoires scientifiques.

Pour Christophe Marie, membre de la fondation Brigite Bardot, il faut mettre fin à l'expérimentation animale.

 

Des chiots libérés par des militants de la cause animale, à Montichiari, le 28 avril 2012 (FermareGreenHill/FlickR/cc)

Des chiots libérés par des militants de la cause animale, à Montichiari, le 28 avril 2012 (FermareGreenHill/FlickR/cc)

 

Samedi 28 avril. Derrière les barbelés, enfermés dans des bâtiments, 2.500 beagles attendent d’être sacrifiés sur l’autel de la science.

 

La scène pourrait se dérouler à Mézilles, dans l’Yonne, où un élevage intensif de chiens mobilise chaque année contre lui de nombreux opposants à l’expérimentation animale.

 

Seulement, nous sommes à Montichiari en Italie, où plus de mille militants se sont réunis devant les grilles de la compagnie "Green Hill" pour dénoncer l’expérimentation animale.

 

Depuis plusieurs années déjà, les activistes-humanistes agissent avec force et efficacité en Italie, contre les pourvoyeurs d’animaux de laboratoire.

 

L’ancienne ministre du Tourisme, Michela Vittoria Brambilla (lien en italien), milite à leurs côtés pour dénoncer la vivisection.

 

Elle a visité cet élevage et son témoignage éclaire sur le quotidien de ces malheureux cobayes.

 

L'air est lourd, irrespirable, mais les lucarnes doivent rester fermées "pour ne pas contaminer les cobayes" m'explique-t-on.

 

Les chiens de "Green Hill" n'auront jamais la possibilité de sortir de ces cages, de voir la lumière du soleil, de respirer à pleins poumons.

 

Ils ne sauront jamais ce que signifie "courir dans l'herbe".

 

Utilisées comme des machines pour produire autant d'infortunés comme elles, les "reproductrices" s'occupent avec une tendresse désespérée de leurs petits, certaines que, cette fois encore, viendra quelqu'un qui les emportera.

 

Ceux qui les emportent leur réservent l’enfer, chiots devenus cobayes, victimes d’une recherche aveugle, inutile et moralement indéfendable.

 

Samedi 28 avril, pour les opposants à la vivisection qui se retrouvent face à ce camp terrifiant, la douleur est trop forte pour rebrousser chemin et abandonner tous ces chiens à leur triste sort.

 

C’est donc tout naturellement que certains, dans un élan de compassion, franchissent les barbelés pour sortir de leur enfer quelques femelles reproductrices et leurs chiots.

 

Lorsqu’ils ressortent des bâtiments, les rescapés blottis contre eux, les militants peuvent compter sur une formidable solidarité, les mains se tendent pour faire passer les chiots du camp vers la liberté.

 

L’émotion est palpable, elle est puissante et semble toucher toutes les personnes présentes, peut-être même les policiers qui semblent rester à l’écart au moment du sauvetage.

 

Citoyens résistants

 

Alors que 12 militants sont arrêtés et risquent de lourdes peines, Brigitte Bardot intervient auprès de la ministre italienne de la Justice.

 

Pour elle, ces citoyens "sont les résistants d’aujourd’hui", ils ont agi sans préméditation et ne doivent pas être condamnés "car ils ont fait preuve d’humanisme dans un monde où la lâcheté et l’égoïsme prédominent".

 

Après avoir été examinés par un vétérinaire, les chiots semblent en bonne forme mais certains d'entre eux resteront à jamais silencieux, puisqu’on leur a coupé les cordes vocales.

 

Dans les laboratoires, le silence est d’or, les animaux expérimentés peuvent souffrir… mais en silence !

 

Les militants, eux, risquent de fortes condamnations pour leur geste d’empathie et de générosité.

 

"Green Hill" estime sa perte à 250.000 euros (lien en italien), un chiffre totalement fantaisiste.

 

Le but ici est de casser le mouvement d’opposition à la vivisection, en broyant les individus qui osent s’opposer et entrer en résistance.

 

Solidarité envers les militants

 

En Italie, cette action a été fortement médiatisée, la solidarité s’organise au-delà des frontières et sera marquée, le 8 mai 2012, par de nombreux rassemblements dans les principales capitales européennes.

 

À Paris, l’action pacifiste et solidaire est prévue place du Trocadéro, sur le parvis des Droits de l’homme, tout un symbole.

 

Outre soutenir les citoyens italiens, le but de cette action est de réclamer la fermeture de l’élevage "Green Hill" de Montichiari, de tous les élevages d’animaux pour les laboratoires d’expérimentation, militer pour le développement et la validation de méthodes substitutives qui mettront un terme définitif à cette torture animale institutionnalisée.

 

L’espoir vient d’Italie mais n’oublions pas que la France reste le pays de l’Union européenne où il y a le plus grand nombre d’animaux sacrifiés dans les laboratoires… plus de 2 millions chaque année !

 

Par Christophe Marie
Fondation Bardot

le 04-05-2012

Édité par Henri Rouillier   Auteur parrainé par Amandine Schmitt

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/545499-elevage-de-chiots-de-montichiari-il-faut-en-finir-avec-l-experimentation-animale.html

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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 15:42

 

Un toucan sauvé du trafic d'animaux sauvages et recueilli dans un centre de soins, au nord de Rio de Janeiro le 17 avril 2012

Un toucan sauvé du trafic d'animaux sauvages et recueilli dans un centre de soins, au nord de Rio de Janeiro le 17 avril 2012 Christophe Simon afp.com

Aras, singes et pumas sont au coeur d'un commerce qui rapporte beaucoup d'argent...

Petits oiseaux chanteurs, grands aras bleus et jaunes d'Amazonie, perroquets verts, singes, tortues, serpents, pumas... le trafic d'animaux n'épargne aucune espèce au Brésil, même celles en voie de disparition.

 

C'est aussi le plus lucratif après la drogue et les armes.

 

«D'après nos estimations quelque 38 millions d'animaux sauvages - dont 80% d'oiseaux - sont retirés en fraude de la forêt par an au Brésil et près de 90% meurent pendant leur transport», a déclaré à l'AFP Rauff Lima, porte-parole de l'ONG Renctas qui, en 2001, a publié le premier rapport national sur le trafic d'animaux.

Deux milliards de dollars par an

Les trafiquants gagnent près de deux milliards de dollars par an au Brésil, ce qui fait du trafic d’animaux le commerce illégal le plus rentable après la drogue et les armes, selon Renctas.

 

La police fédérale brésilienne saisit en moyenne 250.000 animaux par an et l'Institut brésilien de l'environnement (Ibama) en capture 45.000 lors de contrôles qui ont été multipliés au cours des dernières années dans tout le pays.


Au Centre de tri d'animaux sauvages (Cetas) de Rio de Janeiro, un organisme qui dépend de l'Ibama, le vétérinaire Daniel Neves s'occupe de quelque 1.600 animaux recueillis souvent affamés ou malades, victimes des contrebandiers brésiliens.

 

Situé dans une zone forestière, à 75 km du centre de Rio, le Cetas ressemble à un zoo.

 

Les grands aras disposent d'une longue cage dénommée «couloir de vol» qui leur permet de voler en vue d'une éventuelle remise en liberté.

 

Mais dans 700 autres cages, les oiseaux sont entassés dans des conditions précaires.

La police resserre l'étau

Les animaux «restent en quarantaine jusqu'à ce que leur état de santé s'améliore.

 

Le but est de les relâcher dans la nature mais on n'y arrive que pour 20% à 30% d'entre eux.

 

Les aras pourraient aller dans des zoos mais ils sont déjà surpeuplés», déplore le vétérinaire qui estime que le Brésil «devrait se doter d'une loi d'adoption pour les animaux».

 

«C'est sûr que celui qui est prêt à adopter un ara aveugle ne lui fera aucun mal», argue le vétérinaire.

 

«C'est un vrai problème car ils ne sont plus aptes à se débrouiller tous seuls dans la nature», a dit Daniel Neves.


Depuis 2001, la police resserre l'étau autour des braconniers et des trafiquants.

 

Le but immédiat de la police est de réduire les bénéfices et d'augmenter les risques des chasseurs et des contrebandiers, ce qui demande un gros travail préalable des services de renseignements, selon elle.

 

Acheter au marché noir un perroquet vert ou un toucan extrait de son milieu naturel coûte moins de cent dollars alors qu'il en vaut dix fois plus dans une boutique légale.

 

C'est cette différence de prix qui encourage le trafic, selon la police.

627 espèces sont en voie de disparition

Le Brésil et ses 8,5 millions de km2 (soit près de 16 fois la France) a la plus grande biodiversité du monde avec l'Indonésie.

 

Au total, on y a dénombré 530 espèces de mammifères, 1.800 d'oiseaux, 680 de reptiles, 800 d'amphibiens et 3.000 de poissons.

 

D'après le «Livre Rouge» du ministère de l'Environnement, au moins 627 espèces sont en voie de disparition, un nombre qui a triplé en quinze ans.

 

C'est en 2001 qu'a disparu la dernière «ararinha azul» (Cyanopsitta spixii), le perroquet «Blu» du récent dessin animé Rio, en liberté dans l'Etat de Bahia (nord-est) et il n'en reste que quelque 70 autres en captivité dans le monde.

 

«Ils sont dans la main de collectionneurs particuliers qui les ont acquis illégalement», a souligné Rauff Lima.

A.C. avec AFP
Créé le 03/05/2012
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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 15:21

 

44% des propriétaires d'animaux ignorent que leur fidèle compagnon peut souffrir d'allergies
44% des propriétaires d'animaux ignorent que leur fidèle compagnon peut souffrir d'allergies Tyler Olson/shutterstock.com

 

Le printemps est synonyme d'allergies pour les personnes les plus fragiles... mais pas seulement.

 

Les animaux de compagnie sont également victimes de symptômes allergiques, un fait ignoré par un grand nombre de maîtres.

 

D'après le rapport "Pet Allergy Wolrdwide Survey", présenté mercredi 2 mai par Novartis Animal Health, 44% des propriétaires de chiens et de chats n'ont pas conscience de la souffrance de leur animal de compagnie durant la saison des allergies.

 

D'après l'enquête, plus de la moitié des propriétaires d'animaux (51%) ignore également que les animaux de compagnie sont davantage touchés durant la saison des allergies aux pollens et autres allergènes présents dans l'environnement.


"Les résultats de l'enquête mondiale sur les allergies chez les animaux de compagnie démontrent que ceux-ci peuvent être affectés par les même allergènes saisonniers - le pollen, notamment - que les personnes. Il est essentiel que les propriétaires d'animaux de compagnie sachent reconnaître les signes les plus courants d'allergie chez leur compagnons, à savoir le grattage plus fréquent, le léchage excessif de la même zone, la perte de poils et les éruptions cutanées", explique le Dr Stephen Shaw, spécialiste en dermatologie vétérinaire.


Cette enquête a été réalisée en ligne, entre le 15 et le 22 février derniers, auprès de 1.269 propriétaires d'animaux (chiens et chats) en France, en Allemagne, en Italie, en Espagne, au Royaume-Uni, et aux Etats-Unis.

 

Publié le 02/05/2012

http://www.ladepeche.fr/article/2012/05/02/1343760-44-des-proprietaires-d-animaux-ignorent-que-leur-fidele-compagnon-peut-souffrir-d-allergies.html

 

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4 mai 2012 5 04 /05 /mai /2012 17:49

 

 Gandalf première promenade.

 


 

Mardi 01 Mai 2012, nous nous sommes rendus au Refuge de la SPA Canche-Authie (Mélanie, bénévole et votre serviteur), pour sortir les chiens.
 

 

Deux autres bénévoles étaient présentes. Quand je me suis dirigé vers elles pour les saluer, elles conduisaient un vieux chien  vers l'une des pâtures de promenade. Il se traînait lamentablement... 

 

Son regard exprimait une telle souffrance, un manque flagrant de soins, de tendresse et d'affection...


Man2.jpg
Après avoir sorti quelques chiens, nous sommes retourner le voir de plus près dans la pâture. Il était allongé, il attendait... la fin peut-être?


De suite il s'est montré très amical, nous couvrant de léchouilles, frottant sa tête pour réclamer les caresses...


Nous avons fini de sortir les chiens, puis avons demandé les renseignements le concernant.

 

Il a plus de 10 ans...


Il est identifié en Belgique, mais les coordonnées sont erronées...
 

 

Il a été trouvé dans cet état, errant sur la voie publique et conduit en fourrière...
 

 

Il aurait dû être euthanasié Lundi, mais le vétérinaire du Refuge ayant eu une urgence, un répit de quelques jours lui a été accordé.
 

 

J'ai demandé un temps de réflexion pour trouver une solution.
 

 

Ce fut rapide, son regard me hantait...

 

Jeudi nous sommes aller chercher celui que nous avons baptisé Gandalf.

 


Gand1.jpg

Lorsque je l'ai soulevé pour le mettre dans la voiture, ses os ont craqués, j'ai cru que je l'avait cassé en deux.

 

Vendredi matin, nous avons conduit Gandalf chez notre vétérinaire pour un premier examen.

 

Une très forte dysplasie agrémentée d'une monstrueuse arthrose, son corps est beaucoup trop faible pour subir un examen complet (radio, prise de sang etc...).


Notre vétérinaire a pratiqué plusieurs injections d'anti inflammatoires et nous a fourni un traitement pour 10 jours.

 

Si Gandalf se bat pour survivre, nous espérons pouvoir lui offrir la fin de vie que  tout être vivant mérite, entouré d'attentions et d'amour.


Pour le moment, Gandalf ne peut faire de grande promenade, il demande a rentrer au bout de 200 mètres, il mange normalement, il dort et boit énormément.

 

Nous avons commencer des séances de 15 mn de massages, si son traitement fonctionne correctement, il sera completé par de l'homéopatie afin de soutenir l'organisme viellissant de Gandalf 

 

Gand-2.jpg

Gandalf en compagnie de Soul notre précedant sauvetage et de Corto.

 

Un sauvetage peut coûter très cher...

Pour nous aider dans nos actions et sauvetages :


Paypal :

ou
Virement :
Code Banque : 15629 - Code Guichet : 02622 – Numéro de Compte:20706301 – Clé : 45 -
IBAN: FR761562 9026 2200 0207 0630 145
BIC : CMCIFR2A
ou

Par chèque :
“Le Petit Mouton Noir”

Groupe de  Protection Animale.
11, rue de la Balance
62200 Boulogne sur mer

 

Pour tout renseignement

 

Jack : 09 54 15 34 30

 

Notre boutique :

http://www.comboutique.com/shop/homeboutique-40884.html

 

Papy.jpgGandalf a son arrivée chez nous.

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4 mai 2012 5 04 /05 /mai /2012 15:43

 

Les chiens vivaient au milieu d'excréments dans cette propriété en location.

Les chiens vivaient au milieu d'excréments dans cette propriété en location.


FONTAINE-UTERTE -

Huit chiens maltraités ont été retirés vendredi dans une maison de Fontaine.

Il pourrait s’agir d’un élevage clandestin.

 

Le beau-fils du propriétaire qui loue cette maison de la rue du Tertre s'est étonné de voir souvent les volets fermés.

 

Dernièrement, de peur qu'il soit arrivé quelque chose à la locataire, il s'est arrêté.

 

Il n'a vu personne, mais surprise !

 

« Il y avait des chiens en pagaille qui aboyaient. Ils étaient enfermés, je les entendais. Je me suis demandé ce qu'il se passait au point d'en aviser le notaire et la gendarmerie. »


Vendredi matin, les militaires de la communauté de brigades de Bohain se sont rendus dans ce village situé entre Fresnoy et Saint-Quentin.

 

Ils étaient accompagnés d'un responsable de la SPA et du propriétaire resté à l'extérieur.


Des conditions de vie déplorables

Les forces de l'ordre n'ont pas eu besoin de forcer le domicile sur lequel un doute régnait, puisque la locataire y arrivait en voiture.

 

C'est alors qu'ils ont découvert huit chiens vivants dans des conditions déplorables au milieu des excréments.

 

Tous semblent avoir été victimes de maltraitance.

 

Le responsable de la SPA et les militaires ont retiré un Jack-Russel, trois bouledogues français, un bulldog américain et trois carlins.

 

Entre l'odeur d'urine et les excréments des animaux, il leur a été impossible de demeurer longtemps dans l'habitation.

 

« La scène était atroce, » selon un témoin.


L'homme de la SPA est retourné à Saint-Quentin pour s'équiper de caisses et avoir le renfort d'une collègue, afin de récupérer les chiens et les ramener vers leur chenil.

 

Les gendarmes ont avisé le procureur, sachant que la SPA a d'ores et déjà déposé une plainte.

 

« Cette façon de maltraiter des animaux correspondant à un délit », rappelle Yvette Bertin de l'association.


Une enquête est ouverte. Les auditions ont commencé dans la foulée.

 

Le propriétaire de la maison, inquiet, a demandé un état des lieux.

 

Il est convaincu que, lors de sa visite imprévue, il y a quelques jours, il y avait beaucoup plus de chiens que le nombre recueilli. Où sont-ils passés ?

 

Il déplore que sa locataire ait pris cette maison de campagne pour un véritable refuge d'animaux.

 

Il suspecte même un élevage clandestin.

 

Au niveau des chiens, la SPA entend récupérer les carnets de santé, afin de pouvoir les présenter à un vétérinaire.

 

M.B. (correspondant)

Publié le lundi 30 avril 2012

http://www.aisnenouvelle.fr/article/faits-divers-%E2%80%93-justice/un-elevage-de-chiens-clandestin-mis-au-jour

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4 mai 2012 5 04 /05 /mai /2012 15:28
Le président des pêcheurs de Puerto Eten montre l'un des cadavres de pélicans. Capture d'écran RPP Noticias.
Le président des pêcheurs de Puerto Eten montre l'un des cadavres de pélicans. Capture d'écran RPP Noticias.

Plus de 500 cadavres animaux marins, dont une majorité de pélicans, ont été recensés par les autorités dans le nord du pays.

Près de mille dauphins s'étaient échoués dans la même zone en début d'année.

Des pêcheurs péruviens ont fait une macabre découverte en fin de semaine dernière: des centaines de cadavres d'animaux marins échoués sans raison apparente sur les plages de la côte nord du pays.

 

«Sur 170 kilomètres de côte entre San José et Punta La Negra, nous avons vu plus de 1200 pélicans morts, et d'autres agonisants», a affirmé dimanche le président de l'association des pêcheurs artisans de Puerto Eten.

 

De son côté, l'Institut de la mer du Pérou a décompté 538 pélicans et 54 fous à pieds bleus morts sur une bande de plage de 70 kilomètres de long.

 

Cinq cadavres de lions de mer et une tortue ont également été retrouvés.

 

Dans la soirée de dimanche, le gouvernement péruvien, «extrêmement préoccupé», a officiellement reconnu la mort de ces animaux dans une zone proche de la réserve naturelle d'Illescas, et a décrété l'ouverture d'une enquête pour comprendre les raisons de cette hécatombe.

 

Selon les premières constations, les animaux seraient tous décédés sur la plage, et non en mer.

 

Mais il faudra encore mener de nombreux tests pour connaître la cause de ces décès.

 

En 1997, «nous avons constaté des décès massifs de comorans de Bougainville et de pélicans sur la côte sud», rappelle le biologiste Edward Barriga à l'agence AP.

 

«Ils étaient morts de faim, car à cause du phénomène d'El Nino, la mer manquait d'anchois, une des bases de leur alimentation».


Les décès mystérieux de ces animaux sont d'autant plus préoccupants qu'en début d'année, plus de 800 cadavres de dauphins ont été retrouvés dans la même région.

 

Si l'enquête scientifique n'a pas encore pu établir avec certitude les causes de la mort des cétacés, les experts penchent pour une épidémie de morbillivirus, un virus proche de la rougeole humaine.

 

publié le 30/04/2012

http://www.lefigaro.fr/environnement/2012/04/30/01029-20120430ARTFIG00420-perou-des-centaines-de-pelicans-retrouves-morts.php

 

Des pêcheurs ont découvert des pélicans morts au large des plages de Piura et de Lambayeque, dans le Nord du Pérou, le 30 avril 2012.
Des pêcheurs ont découvert des pélicans morts au large des plages de Piura et de Lambayeque, dans le Nord du Pérou, le 30 avril 2012.
(REUTERS / FTVI)
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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 18:05

 

 

30.jpg

 

 

Son corps alangui, offert,

Elle a beau minaudé,

Rien à faire,

Il ne veut la satisfaire...

 

Soudain sa main se pose,

 

Elle sursaute, s’abandonne,

 

Explosion de sensations,

Que faire ?

Capituler ?

Ne pas lutter ?

 

Ses caresses s’attardent le long de son corps,

Le long de ses hanches soyeuses,

 

 

Elle en veut encore plus.

De son regard évocateur,

Elle quémande son offrande,

Elle s’étire de satisfaction,

 

Elle glisse sa tête, remonte sa nuque,

Sa langue lui titille l’oreille,

Elle ne s’y attarde pas,

Elle a d’autres chats à fouetter,

 

A commencer par

Trouver le moyen de résister.

Elle s’abandonne totalement

Au plaisir de ses mains

 

Fourrageant sa splendide fourrure,

Son plaisir s’accroît,

Cela est il possible ?

Elle doit résister…

 

Ses doigts provoquent

Ses points sensibles en ébullitions

Elle veut prolonger cette émotion

Qui ne cesse de grandir.

 

N'y tenant plus,

Son corps vibrant de plaisir,

Elle tente de miauler

Elle succombe de satisfaction

 se laisse aller

En un doux ronronnement.


48.jpg

Labrajack

Texte écrit le 27Juin 03.
Soyez indulgents...

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29 avril 2012 7 29 /04 /avril /2012 18:16

Petitions pour sauver Pony :

http://www.thepetitionsite.com/841/068/757/stop-using-orangutans-as-prostitutes/


http://www.theperfectworld.com/petitions/item/35-pony-the-orangutan-prostitute

Il semble que les mauvais traitements infligés aux animaux n'aient plus aucune limite.

Exploités et maltraités avec une créativité extrêmement malsaine, de nombreuses espèces sont victimes d'une forme de commerce qui a de quoi laisser pantois.

Notre chroniqueuse Eve Gratien revient sur des exemples effrayants.

 

Orang Outan - jardin des Plantes - Paris / Flickr CC / http://www.flickr.com/photos/iota_fr/6957191109/

Orang Outan - jardin des Plantes - Paris / Flickr CC  

 

Nous les mangeons, nous les faisons travailler, nous les utilisons comme cobayes pour nos tests en tous genres, nous nous habillons de leur peau, nous les parquons et en faisons des distractions, nous les exhibons pour le profit, nous les envoyons au casse-pipe en temps de guerre, nous en faisons des compagnons pour nous divertir, nous nous lassons d’eux et les abandonnons, nous les transformons même en accessoires de mode ou en grigris.

 

Nous leur faisons prendre tous les risques que nous n’osons courir, nous leur faisons subir tous les dommages que nous refusons de nous infliger, nous disposons d’eux à notre gré, ramenant ces êtres vivants au rang d’objets dont nous pouvons disposer à volonté, leur niant toute sensibilité, fermant les yeux sur leur souffrance, encourageant les plus fréquentes cruautés qui leurs sont infligées, considérant comme presque normales la plupart des maltraitances qui leur sont infligées…

 

La liste des maltraitances et cruautés infligées aux animaux est bien longue et, que nous le voulions ou non, leur exploitation est une réalité qui rythme notre quotidien sans sembler, pour autant, nous perturber outre-mesure.


Specisme : sommes-nous des nazis à l’égard des animaux ?

Nazisme, un mot qui fait froid dans le dos mais que n’hésitent pas à utiliser les défenseurs de la cause animale dès lors qu’il est question de définir les rapports de force et de domination qu’entretient le genre humain à l’égard des animaux.

 

Un terme violent auquel fait notamment allusion Shaun Monson en introduction de son film Earthlings (Terriens) (1), citant l’écrivain et prix Nobel Isaac Bashevis Singer : "Dans leur comportement envers les créatures, tous les hommes [sont] des nazis ».

 

Dans ce documentaire paru en 2005, Monson s’efforce de décrire l’asservissement du monde animal par les hommes et les différentes formes que cette exploitation revêt.

 

Partant du postulat que nous – êtres humains et animaux – sommes tous des Terriens, le fait de voir certains Terriens en dominer d’autres en les traitant comme de simples objets, transformables en produits industriels et exploitables à souhait, constituerait une forme de violence comparable au racisme ou au sexisme, fonctionnant selon un schéma identique : privilégier les intérêts des individus d’un groupe au détriment de ceux d’un autre groupe, considérés comme moins puissants et traités comme des objets.

 

Ce specisme ainsi dénoncé revêt des formes toujours plus nombreuses dont certaines ont été citées plus haut.

 

Mais alors que l’on pensait peut-être avoir fait le tour de la question en matière d’horreur et de cruautés communément infligées aux animaux, nous voilà en droit de nous poser sincèrement la question suivante : jusqu’où l’homme ira-t-il ?


Y a-t-il des limites à la cruauté et à l’exploitation que la condition humaine fait subir aux animaux ?

 


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Toujours plus absurde, toujours plus cruel

Si nous sommes tous en mesure de pointer du doigt ces pratiques qui heurtent nos sensibilités voire nous révulsent (corridas, élevage industriel, animaux de laboratoires, business de la fourrure…), nous serions bien naïfs de considérer que les diverses maltraitances animales connues à ce jour aient atteint leur paroxysme ou de sous-estimer l’inventivité dont fait preuve le genre humain en matière d’exploitation des animaux.

Des faits divers sont régulièrement dénoncés, alimentant des groupes de protestation et des pétitions sur les réseaux sociaux et sites de défense des droits des animaux.

 

Surenchères dans les prestations de massacres de chatons sur les sites de partage de vidéos, souvenir du scandale de Vargas qui, lors de la Biennale d’Amérique centrale d’Arts visuels en 2007, captura un chien errant et le laissa attaché à une courte corde pendant plusieurs jours au nom de l’art (et que la rumeur accuse d’avoir laissé mourir l’animal dans le cadre de son œuvre), les prétextes censés justifier la maltraitance des animaux sont toujours plus absurdes et les dérives qui en découlent semblent sans limite aucune.

 

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 Il y a quelques mois, c’était au tour des porte-clés "vivants" (2) de faire le buzz : principalement vendus en Chine, ces porte-clés en plastique renferment un petit animal (lézard, tortue ou poisson) ayant la particularité d’être vivant, car s’il se contentait d’être mort et figé dans de la résine, ce ne serait ni assez drôle ni assez cruel.

 

Avec ce nouveau must have, les touristes peuvent désormais se réjouir de posséder un porte clés "vivant" mais malheureusement éphémère, avec lequel ils pourront frimer quelques jours jusqu’à ce que le cadavre d’une tortue ou d’un poisson rouge flottant dans de l’eau saumâtre ne les conduise à se mettre en quête d’une nouvelle excentricité du genre.

 

A-t-on atteint les limites de la cruauté et de la maltraitance animale avec cet exemple d’animaux réduits à l’état d’objets jetables ?


Ce serait trop beau.

 

Les faits nous prouvent hélas qu’en la matière, l’imagination des hommes est sans borne et n’a d’égal que l’intérêt du profit.

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Des femelles orang-outans prostituées dans des bordels

Les faits remontent à 2007 mais l’information a été massivement diffusée il y a quelques semaines seulement.

 

A Bornéo, une fondation en faveur de la protection des oran-outang a organisé la libération d’une jeune femelle de la race qui venait de passer plusieurs années en captivité, prostituée dans un bordel de campagne.

 

La femelle orang-outan a ainsi été victime de sévices sexuels pendant plusieurs années avant d’être finalement libérée, une libération qui aura mis un an à voir le jour et qui aura nécessité l’artillerie lourde (35 policiers armés) tant sa proxénète était peu encline à perdre sa poule aux œufs d’or et ses habitués récalcitrants à l’idée de devoir renoncer à leur bien docile Pony.

 

Dans cette affaire où le mot sordide prend tout son sens, l’on apprend comment l’animal vivait enchaîné et était quotidiennement rasé afin de revêtir une apparence plus à même de convenir à sa clientèle et aussi proche que possible de celle d’une femme.

 

Maquillée, parée de bijoux et autres artifices censés la rendre plus "humaine", la pauvre femelle orang-outan ainsi séquestrée et prostituée a enchaîné les "passes" quotidiennes pendant des années avant de pouvoir enfin être libérée et prise en charge par l’association indonésienne Borneo Orangoutan Survival Foundation (3).

 

Ce fait divers laisse imaginer qu’il est peu probable que le cas de Pony soit isolé et de telles pratiques seraient toujours d’actualité en Indonésie ainsi que dans d’autres pays tels que la Thaïlande où, vraisemblablement, la prostitution infantile semble ne pas suffire.


Quand j’ai vu "Earthlings" pour la première fois, j’ai cru perdre définitivement foi en l’humanité et passé trois jours à pleurer et à errer en pyjama (exactement comme la foi où, en classe de 3ème, la prof d’histoire a tiré les rideaux et, dans une salle obscure, nous a diffusé "Nuit et Brouillard").

 

Quand je suis tombée sur une de ces vidéos de porte-clés poissons, je m’en suis voulu d’avoir eu un poisson en bocal ou d’avoir laissé mourir mes tétards en laissant le bocal en plein soleil (j’avais 9 ans, ça va hein).

 

Et puis là, en découvrant cette triste histoire qui bat des records en matière de cruauté et de sordide, autant vous dire que je suis à deux doigts de claquer ma paie sur le site de la fondation de protection des Orang Outans de Borneo, en parrainant des dizaines de bébés singes. Il y a des jours où j’aimerais bien avoir encore foi en l’humanité. Mais j’ai du mal.

 

(1)   Earthlings (2005) : http://video.google.fr/videoplay?docid=4093730216074063220

(2)   http://ibuzzyou.fr/des-poissons-lezards-et-tortues-vivants-en-guise-de-porte-cles.html

(3)   http://www.orangutanprotectionfoundation.org/

 

Par Eve Gratien Chroniqueuse Édité par Gaëlle-Marie Zimmermann   le 28-04-2012

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/542964-des-femelles-orang-outans-prostituees-jusqu-ou-va-la-maltraitance-animale.html

 

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